Le Président Macky Sall
"Je veillerai personnellement à la ratification, par notre pays, dans les meilleurs délais, de la Charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance", a-t-il déclaré à l'ouverture de la deuxième session du dialogue annuel de haut niveau sur la gouvernance et la démocratie en Afrique. Prévue pour trois jours, cette rencontre se tient sur le thème "Renforcement de l'ordre constitutionnel et l'état de droit en Afrique : tendances, défis et perspectives". Elle vise à évaluer l'état du constitutionnalisme et la primauté du droit en Afrique et à examiner les dynamiques sociopolitiques de constitution, de décision et les réformes en Afrique entre autres objectifs.
De même, ajouté le président de la République, "le Sénégal va se soumettre bientôt au processus d'évaluation par les pairs, dans le cadre du Mécanisme africain d'évaluation par les pairs". Il a réaffirmé l'attachement du Sénégal au renforcement de l'ordre constitutionnel et à la préservation de l'Etat de droit. Selon lui, c'est dans cette optique qu'un ministère chargé de la Promotion de la Bonne gouvernance a été érigé au Sénégal, sans compter différentes actions mises en œuvre par les pouvoirs publics sénégalais pour renforcer la participation des femmes et des jeunes aux processus de prise de décisions.
Il est toutefois "illusoire de parler de démocratie et d'Etat de droit dans un contexte où la sécurité des Nations est constamment menacée", a soutenu le chef de l'Etat sénégalais.
Suivant cette logique, "le renforcement du constitutionnalisme et de l'Etat de droit doit être concomitant à la transformation socio-économique du continent vers laquelle nous sommes tous engagés, à travers le débat sur l'Agenda africain 2063", a indiqué le président Macky Sall.
Pour sa part, le président du conseil d'administration de l'Institut africain de bonne gouvernance, Abdoulie Janneh, a souligné que le Sénégal "a toujours été un bon exemple en matière de démocratie et d'Etat de droit". Cette rencontre a été également l'occasion pour M. Janneh de présenter l'indice Mo Ibrahim qui classe le Sénégal parmi les dix meilleurs pays de l'Afrique. Cela fait du pays le mieux classé en Afrique de l'Ouest selon le même indice.
APS
De même, ajouté le président de la République, "le Sénégal va se soumettre bientôt au processus d'évaluation par les pairs, dans le cadre du Mécanisme africain d'évaluation par les pairs". Il a réaffirmé l'attachement du Sénégal au renforcement de l'ordre constitutionnel et à la préservation de l'Etat de droit. Selon lui, c'est dans cette optique qu'un ministère chargé de la Promotion de la Bonne gouvernance a été érigé au Sénégal, sans compter différentes actions mises en œuvre par les pouvoirs publics sénégalais pour renforcer la participation des femmes et des jeunes aux processus de prise de décisions.
Il est toutefois "illusoire de parler de démocratie et d'Etat de droit dans un contexte où la sécurité des Nations est constamment menacée", a soutenu le chef de l'Etat sénégalais.
Suivant cette logique, "le renforcement du constitutionnalisme et de l'Etat de droit doit être concomitant à la transformation socio-économique du continent vers laquelle nous sommes tous engagés, à travers le débat sur l'Agenda africain 2063", a indiqué le président Macky Sall.
Pour sa part, le président du conseil d'administration de l'Institut africain de bonne gouvernance, Abdoulie Janneh, a souligné que le Sénégal "a toujours été un bon exemple en matière de démocratie et d'Etat de droit". Cette rencontre a été également l'occasion pour M. Janneh de présenter l'indice Mo Ibrahim qui classe le Sénégal parmi les dix meilleurs pays de l'Afrique. Cela fait du pays le mieux classé en Afrique de l'Ouest selon le même indice.
APS