La banque américaine Citigroup, présente dans plus de 100 pays, a licencié près de 140 000 salariés, soit plus d'un tiers de ses effectifs globaux. Royal Bank of Scotland (RBS), qui a entrepris en 2009 un plan d’assainissement de ses positions en liquidant une grande partie de ses actifs d'Outre-mer, s’est, quant à elle, séparé de plus de 100 000 employés, soit environ 53% de ses effectifs.
Le mouvement de réduction des effectifs devrait se poursuivre durant les prochaines années.
Citigroup a encore prévu 2000 licenciements en 2016. Deutsche Bank prévoit, elle aussi, 26 000 licenciements d'ici à 2018 alors que le groupe italien UniCredit SpA vient d’annoncer la suppression prochaine de 18 200 emplois.
Les plans sociaux qui se succèdent au niveau des banques s’expliquent par plusieurs facteurs, dont la baisse de la rentabilité de ces institutions financières ainsi que la digitalisation accrue des opérations au niveau des différents métiers de la banque (salles de marché automatisées, banque mobile, traitement de données via le Big Data… etc )
Ecofin
Le mouvement de réduction des effectifs devrait se poursuivre durant les prochaines années.
Citigroup a encore prévu 2000 licenciements en 2016. Deutsche Bank prévoit, elle aussi, 26 000 licenciements d'ici à 2018 alors que le groupe italien UniCredit SpA vient d’annoncer la suppression prochaine de 18 200 emplois.
Les plans sociaux qui se succèdent au niveau des banques s’expliquent par plusieurs facteurs, dont la baisse de la rentabilité de ces institutions financières ainsi que la digitalisation accrue des opérations au niveau des différents métiers de la banque (salles de marché automatisées, banque mobile, traitement de données via le Big Data… etc )
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