‘’Nous avions demandé à ce que le protocole du président de la République nous trouve un espace de temps, ne serait-ce que pour trente minutes, pour échanger avec le chef de l’Etat sur la situation du tourisme, en général et de la Petite Côte en particulier. Malheureusement, pour des contraintes de temps, il n’était pas possible de créer cet espace de temps pour que le président de la République puisse rencontrer les professionnels que nous sommes’’, a expliqué M. Sabaly. Selon lui, ''le président Sall a deux heures d'horloge à consacrer au lancement de la saison et pas plus''. Toutefois, ''des intervenants ont été désignés et dans le cadre des syndicats des patronats de l’hôtellerie et des agences de voyages, nous avons décidé de confier le temps de parole qui a été dédié au secteur du tourisme à Mamadou Racine, suite à des débats houleux’’, a renseigné le président du syndicat d’initiatives touristiques de la région de Thiès.
‘’Des ministres du Tourisme et de l’Environnement se sont succédé, depuis 2005 à Saly-Portudal. Si vous regardez bien dans la Déclaration de politique générale du Premier ministre, Aminata Touré, pour la première fois, le tourisme a été cité, au moins, à trois ou quatre reprises. Ça n’a jamais existé depuis plus de dix ans’’, a salué Ibrahima Sarr, président du Comité de gestion de la station balnéaire de Saly-Portudal. ‘’Aujourd’hui, le Sénégal a deux leviers de croissance que sont l’agriculture et le tourisme. Apparemment, le président de la République fonde beaucoup d’espoirs sur le tourisme. Bien vrai qu’on dira pourquoi fonder beaucoup d’espoirs sur le tourisme et mettre un facteur bloquant comme le visa biométrique et un autre facteur bloquant qui est l’érosion côtière dont la résolution tarde à se faire’’, a-t-il dit.
APS
‘’Des ministres du Tourisme et de l’Environnement se sont succédé, depuis 2005 à Saly-Portudal. Si vous regardez bien dans la Déclaration de politique générale du Premier ministre, Aminata Touré, pour la première fois, le tourisme a été cité, au moins, à trois ou quatre reprises. Ça n’a jamais existé depuis plus de dix ans’’, a salué Ibrahima Sarr, président du Comité de gestion de la station balnéaire de Saly-Portudal. ‘’Aujourd’hui, le Sénégal a deux leviers de croissance que sont l’agriculture et le tourisme. Apparemment, le président de la République fonde beaucoup d’espoirs sur le tourisme. Bien vrai qu’on dira pourquoi fonder beaucoup d’espoirs sur le tourisme et mettre un facteur bloquant comme le visa biométrique et un autre facteur bloquant qui est l’érosion côtière dont la résolution tarde à se faire’’, a-t-il dit.
APS