« Il ressort également d'une étude récemment réalisée par McKinsey & Company que le commerce électronique pourrait représenter 10 % des ventes au détail des plus grandes économies du continent africain d’ici 2025. En comparaison, le commerce de détail en ligne aux États-Unis représente 9 % du total des ventes au détail ».
« À l’échelle mondiale, il a fallu plus de 2 000 ans pour développer un système monétaire formel et plus de 600 ans pour mettre en œuvre un système bancaire formel. Il a fallu également plus de 50 ans pour introduire les cartes de crédit et de débit, et à l’heure actuelle, tout le monde ne dispose pas d’un compte en banque. Au vu de ces jalons posés tout au long de l’histoire du commerce, il faut bien admettre que nous en sommes encore aux balbutiements du commerce électronique », a indiqué Sumesh Rahavendra dans le texte.
M. Rahavendra fait allusion à une récente étude menée par Jana au Nigeria, l’économie la plus importante du continent. Près d'un quart des personnes interrogées (23,55 %) y a mentionné le manque de sécurité comme étant l’obstacle n° 1 à l'achat de produits en ligne. Pour 38,81 % des répondants, le paiement en espèces a constitué le moyen de paiement de prédilection pour leurs achats en ligne de biens et services, contre 29,52 % qui ont choisi les cartes de crédit. « Ceci met en évidence le fait que les consommateurs africains sont toujours en train de se familiariser avec les méthodes de paiement en ligne », a ajouté M. Rahavendra.
« Le commerce en ligne évoluera au même rythme que les technologies dans les pays africains respectifs. Nous estimons que nombre d’entreprises africaines délaisseront petit à petit l’environnement du commerce de détail traditionnel pour se diriger directement vers l'espace commercial virtuel, si on en juge par l’essor des services mobiles et Internet en Afrique », conclut M. Raghavendra.
Ndeye Maguette Kébé
« À l’échelle mondiale, il a fallu plus de 2 000 ans pour développer un système monétaire formel et plus de 600 ans pour mettre en œuvre un système bancaire formel. Il a fallu également plus de 50 ans pour introduire les cartes de crédit et de débit, et à l’heure actuelle, tout le monde ne dispose pas d’un compte en banque. Au vu de ces jalons posés tout au long de l’histoire du commerce, il faut bien admettre que nous en sommes encore aux balbutiements du commerce électronique », a indiqué Sumesh Rahavendra dans le texte.
M. Rahavendra fait allusion à une récente étude menée par Jana au Nigeria, l’économie la plus importante du continent. Près d'un quart des personnes interrogées (23,55 %) y a mentionné le manque de sécurité comme étant l’obstacle n° 1 à l'achat de produits en ligne. Pour 38,81 % des répondants, le paiement en espèces a constitué le moyen de paiement de prédilection pour leurs achats en ligne de biens et services, contre 29,52 % qui ont choisi les cartes de crédit. « Ceci met en évidence le fait que les consommateurs africains sont toujours en train de se familiariser avec les méthodes de paiement en ligne », a ajouté M. Rahavendra.
« Le commerce en ligne évoluera au même rythme que les technologies dans les pays africains respectifs. Nous estimons que nombre d’entreprises africaines délaisseront petit à petit l’environnement du commerce de détail traditionnel pour se diriger directement vers l'espace commercial virtuel, si on en juge par l’essor des services mobiles et Internet en Afrique », conclut M. Raghavendra.
Ndeye Maguette Kébé