Les ressources marines et côtières peuvent être l’objet d’exploitation et d’activités entrepreneuriales pouvant générer des ressources et richesses aux populations

Mardi 24 Juin 2014

Les taux de décaissement sont relativement faibles en ce qui concerne le projet GO WARMER a souligné mardi à Dakar, le Docteur Taib Diouf, coordonateur du projet Gouvernance Politique de Gestion de Ressources Marines et Côtières, et la Lutte contre l’Insécurité Alimentaire pour l’ amélioration des conditions de vie des populations locales(GO WARMER).


Les ressources marines et côtières  peuvent être l’objet d’exploitation et d’activités entrepreneuriales pouvant générer des ressources et richesses aux populations
‘’Le décaissement du projet a connu des retards à la première année de mise en œuvre .Ces derniers étaient liés aux approches inactives de certains pays pour la concision de la gouvernance locale ‘’ a expliqué M. Diouf.
 Il se prononçait au cours d’un atelier sous régional axé sur « Le suivi de la gouvernance et de la cohérence entre les politiques de gestion des ressources marines et côtières et des stratégies de lutte contre la pauvreté ». 
‘‘Il fallait faire avec ces difficultés de décaissement compte tenu des procédures qui sont exigibles au niveau des bailleurs comme l’Union Européenne  et le PNUD, car sept pays dépendent du même projet  alors qu’ils n’ont pas les mêmes pratiques en matières de gestion ni les même procédures de gestion qu’il  va fallait  harmoniser ‘’a-t-il poursuit.
‘’ Dans un premier temps un travail a été effectué afin d’harmoniser les méthodes de gestions,  ce qui a pris du temps mais actuellement nous avons bien maîtrisé les procédures de l’union Européenne, il reste à aller de l’avant pour améliorer ces décaissements’, ’ a assuré, le coordonnateur dudit projet.
Selon lui, ‘’ Il faudra mettre  en place un plan d’action, une certaine durabilité pour mieux tirer parti du projet qui dans sa finalité vise à améliorer les conditions de vie des populations  des pays bénéficiaires mais également réduire la pauvreté par un accroissement des revenus de celles-ci ».
‘’Les ressources marines et côtières  peuvent être l’objet d’exploitation et d’activités entrepreneuriales qui peuvent générer des ressources et donner plus de richesses aux populations locales ‘’ a-t-il fait valoir.
Au terme de cette deuxième rencontre, des résultats sont attendus tels qu’un rapport sur la situation actualisée de l’indice de gouvernance dans les différents pays bénéficiaires, une analyse des marges de progression réalisées en 2013 et 2014 par les pays cibles sur la gouvernance des ressources marines et côtières.
Ndeye Maguette Kébé
 
 
Actu-Economie


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