"En Afrique, il y a nécessité de respecter les standards internationaux et tout ce qui concerne les [statistiques] au niveau mondial", a affirmé M. Niang, directeur du management et de l'information statistique à l'ANSD. Il participait à la "journée d’intégration" de l’Amicale des étudiants et stagiaires de l’Ecole nationale de la statistique et de l’analyse économique (AES-ENSAE).
Mamadou Niang, par ailleurs parrain de la manifestation, estime que "le rôle des statisticiens, c’est de mesurer les faits de la manière la plus objective, de les systématiser et de les transmettre à l’opinion". Dans le domaine de la statistique, "il est très important de prendre en compte les spécificités des sociétés africaines, pour mieux apprécier les mutations qui sont en train de s’opérer" dans le continent, a-t-il souligné.
Le fait de prendre en considération les spécificités de l’Afrique permettra de "guider les autorités politiques et les opérateurs économiques, les aider à mieux prendre en compte ces réalités, à améliorer l’efficacité de nos sociétés et, par conséquent, les bonnes décisions qui vont impacter le développement de l’Afrique", a expliqué Mamadou Niang.
Des étudiants de l'ENSAE, ressortissants de neuf pays africains, ont participé à la "journée d'intégration", au siège de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD), à Dakar. "La diversité culturelle dans les sociétés africaines" était le thème de la manifestation.
"C'est d’abord un clin d’œil à tous ces Etats qui sont actuellement déchirés par les conflits, et qui n’ont pas encore compris que la diversité culturelle devait être une richesse, pas une source de conflit", a expliqué le président de l’AES-ENSAE, Joël Kazoulé, en parlant du choix du thème.
Ce thème "s’inscrit dans un cadre de revalorisation de nos valeurs culturelles. Il implique autant les statisticiens que les organes chargés prendre les décisions de nos Etats. Il est très important que ces organes imprégnés de nos réalités culturelles", a ajouté M. Kazoulé.
APS
Mamadou Niang, par ailleurs parrain de la manifestation, estime que "le rôle des statisticiens, c’est de mesurer les faits de la manière la plus objective, de les systématiser et de les transmettre à l’opinion". Dans le domaine de la statistique, "il est très important de prendre en compte les spécificités des sociétés africaines, pour mieux apprécier les mutations qui sont en train de s’opérer" dans le continent, a-t-il souligné.
Le fait de prendre en considération les spécificités de l’Afrique permettra de "guider les autorités politiques et les opérateurs économiques, les aider à mieux prendre en compte ces réalités, à améliorer l’efficacité de nos sociétés et, par conséquent, les bonnes décisions qui vont impacter le développement de l’Afrique", a expliqué Mamadou Niang.
Des étudiants de l'ENSAE, ressortissants de neuf pays africains, ont participé à la "journée d'intégration", au siège de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD), à Dakar. "La diversité culturelle dans les sociétés africaines" était le thème de la manifestation.
"C'est d’abord un clin d’œil à tous ces Etats qui sont actuellement déchirés par les conflits, et qui n’ont pas encore compris que la diversité culturelle devait être une richesse, pas une source de conflit", a expliqué le président de l’AES-ENSAE, Joël Kazoulé, en parlant du choix du thème.
Ce thème "s’inscrit dans un cadre de revalorisation de nos valeurs culturelles. Il implique autant les statisticiens que les organes chargés prendre les décisions de nos Etats. Il est très important que ces organes imprégnés de nos réalités culturelles", a ajouté M. Kazoulé.
APS