Selon un communiqué de presse, les États-Unis restent un partenaire engagé dans l'amélioration de la sécurité alimentaire et de la résilience au Sénégal et dans le monde entier.
La même source signale que le secrétaire Antony J. Blinken a présenté, le 8 août, en Afrique du Sud, la nouvelle stratégie de partenariat entre l'Afrique subsaharienne et les États-Unis, fondée sur la reconnaissance du fait que l'Afrique subsaharienne est une force géopolitique majeure, qui a façonné notre passé, façonne notre présent et façonnera notre avenir.
Le secrétaire Blinken a aussi annoncé que depuis le début de l'année, les États-Unis ont envoyé plus de 6,6 milliards de dollars d'aide humanitaire et alimentaire à l'Afrique. Il a déclaré : « Il y a quelques mois, en mai, j'ai organisé une réunion ministérielle sur la sécurité alimentaire mondiale aux Nations Unies, pour tenter de rallier les donateurs afin de combler certains des déficits de financement urgents, et permettre aux pays touchés de mettre en évidence les domaines dans lesquels ils ont besoin de soutien. Nos collègues africains ont clairement indiqué qu'au-delà de l'aide d'urgence, ce qu'ils souhaitent vraiment, c'est davantage d'investissements dans la résilience, l'innovation et l'autosuffisance agricoles. Nous répondons à ces appels. Notre initiative appelée Feed the Future investira 11 milliards de dollars sur cinq ans dans 20 pays partenaires, dont 16 en Afrique ».
«Le Sénégal est un pays cible de Feed the Future, qui se concentre sur l'augmentation de la productivité des chaînes de valeur du riz, du maïs, du millet, de l'horticulture et de la pêche, tout en améliorant l'accès aux marchés pour les producteurs sénégalais », renseigne le document.
Les programmes de l'Usaid au Sénégal offrent également une formation aux jeunes pour qu'ils s'engagent dans des opportunités d'entrepreneuriat et d'emploi axées sur les chaînes de valeur et les marchés agricoles.
«En 2021, le département américain de l'Agriculture a investi 25 millions de dollars dans des projets d'alimentation scolaire au Sénégal. Le département d'État américain finance un partenariat de deux ans entre l'université de Cheikh Anta Diop de Dakar et une université américaine, la Florida Agricultural and Mechanical University, afin d'améliorer les programmes d'entrepreneuriat agricole à Dakar.
Ce programme, financé par le gouvernement américain, soutiendra les jeunes du Sénégal qui souhaitent se construire une carrière indépendante tout en développant le secteur agricole du pays », informe la même source.
En mai dernier, le président Biden a signé un projet de loi bipartisan de crédits supplémentaires d'urgence de 40 milliards de dollars qui prévoit 760 millions de dollars de fonds de soutien économique pour faire face à la crise actuelle de la sécurité alimentaire et intensifier les efforts dans les pays qui en ont le plus besoin. Le président a annoncé ce financement lors du sommet du G-7.
«En temps normal, l’Ukraine exporterait plus de 5 millions de tonnes de céréales chaque mois. À cause de la guerre par la Russie, ce volume a été infiniment plus limité en mars et avril, comparé à l’année dernière. L’Ukraine dispose de stocks à hauteur de 20 millions de tonnes, ce qui permettrait, selon l’Organisation des Nations Unies pour l’agriculture et l’alimentation ainsi que le Programme alimentaire mondial, de nourrir plusieurs centaines de millions de personnes.
À cause de cette guerre, plus de 160 millions de personnes dans le monde ont connu une insécurité alimentaire aiguë, en 2021, soit une augmentation de 19 % par rapport à l'année précédente. Les pays d'Afrique connaissent une part surdimensionnée d'insécurité alimentaire », détaille le communiqué.
Adou Faye
La même source signale que le secrétaire Antony J. Blinken a présenté, le 8 août, en Afrique du Sud, la nouvelle stratégie de partenariat entre l'Afrique subsaharienne et les États-Unis, fondée sur la reconnaissance du fait que l'Afrique subsaharienne est une force géopolitique majeure, qui a façonné notre passé, façonne notre présent et façonnera notre avenir.
Le secrétaire Blinken a aussi annoncé que depuis le début de l'année, les États-Unis ont envoyé plus de 6,6 milliards de dollars d'aide humanitaire et alimentaire à l'Afrique. Il a déclaré : « Il y a quelques mois, en mai, j'ai organisé une réunion ministérielle sur la sécurité alimentaire mondiale aux Nations Unies, pour tenter de rallier les donateurs afin de combler certains des déficits de financement urgents, et permettre aux pays touchés de mettre en évidence les domaines dans lesquels ils ont besoin de soutien. Nos collègues africains ont clairement indiqué qu'au-delà de l'aide d'urgence, ce qu'ils souhaitent vraiment, c'est davantage d'investissements dans la résilience, l'innovation et l'autosuffisance agricoles. Nous répondons à ces appels. Notre initiative appelée Feed the Future investira 11 milliards de dollars sur cinq ans dans 20 pays partenaires, dont 16 en Afrique ».
«Le Sénégal est un pays cible de Feed the Future, qui se concentre sur l'augmentation de la productivité des chaînes de valeur du riz, du maïs, du millet, de l'horticulture et de la pêche, tout en améliorant l'accès aux marchés pour les producteurs sénégalais », renseigne le document.
Les programmes de l'Usaid au Sénégal offrent également une formation aux jeunes pour qu'ils s'engagent dans des opportunités d'entrepreneuriat et d'emploi axées sur les chaînes de valeur et les marchés agricoles.
«En 2021, le département américain de l'Agriculture a investi 25 millions de dollars dans des projets d'alimentation scolaire au Sénégal. Le département d'État américain finance un partenariat de deux ans entre l'université de Cheikh Anta Diop de Dakar et une université américaine, la Florida Agricultural and Mechanical University, afin d'améliorer les programmes d'entrepreneuriat agricole à Dakar.
Ce programme, financé par le gouvernement américain, soutiendra les jeunes du Sénégal qui souhaitent se construire une carrière indépendante tout en développant le secteur agricole du pays », informe la même source.
En mai dernier, le président Biden a signé un projet de loi bipartisan de crédits supplémentaires d'urgence de 40 milliards de dollars qui prévoit 760 millions de dollars de fonds de soutien économique pour faire face à la crise actuelle de la sécurité alimentaire et intensifier les efforts dans les pays qui en ont le plus besoin. Le président a annoncé ce financement lors du sommet du G-7.
«En temps normal, l’Ukraine exporterait plus de 5 millions de tonnes de céréales chaque mois. À cause de la guerre par la Russie, ce volume a été infiniment plus limité en mars et avril, comparé à l’année dernière. L’Ukraine dispose de stocks à hauteur de 20 millions de tonnes, ce qui permettrait, selon l’Organisation des Nations Unies pour l’agriculture et l’alimentation ainsi que le Programme alimentaire mondial, de nourrir plusieurs centaines de millions de personnes.
À cause de cette guerre, plus de 160 millions de personnes dans le monde ont connu une insécurité alimentaire aiguë, en 2021, soit une augmentation de 19 % par rapport à l'année précédente. Les pays d'Afrique connaissent une part surdimensionnée d'insécurité alimentaire », détaille le communiqué.
Adou Faye