chroniques
‘’Nous avons sélectionné 250 plantes sur lesquelles nous menons des recherches relativement à la lutte contre le diabète, le cancer, les maladies cardiovasculaires, la constipation permanente chez les enfants, la diarrhée, etc.’’, a-t-il déclaré jeudi devant une vingtaine de journalistes d’Afrique de l’Ouest et du Centre. ‘’Nous sommes très concentrés sur cette recherche pour regarder toutes les plantes assez prometteuses et voir les molécules intéressants’’, a-t-il confié rappelant que l’objet de cette recherche vise à améliorer la qualité de la nutrition, par la mise en valeur des plantes locales, afin d’enrayer la montée de ces maladies.
Basé dans la Zone industrielle de Yopougon, une commune de la capitale économique ivoirienne, le centre que dirige cet expatrié sénégalais compte une centaine de chercheurs et de personnel d’appoint, de 15 nationalités africaines et européennes. Unique en Afrique, il est l’un des 34 CRD que compte le groupe agroindustriel suisse dans tous les continents. ‘’Dans ce centre, nous nous intéressons à la santé, à la science et à l’agriculture, comme nous disons ici, notre travail c’est de la fourche à la fourchette’’, a expliqué Serigne Diop, titulaire d’un PHD en sciences de l’agroalimentaire. ‘’Toutes les innovations c’est ici que nous les sortons.’’ ‘’Quand on parle de Nestlé, on pense à maggi, cérélac, nido, oubliant toute la recherche qu’il y a en amont et en aval. La recherche est le cœur de notre société (Nestlé) qui met deux milliards de dollars par an et 5000 employés dans la recherche. Et au cœur de cette recherche, nous avons le consommateur’’, a-t-il relevé.
A Abidjan et sur son site secondaire de Zambrako, le Centre de recherche et développement de Nestlé travaille sur 30 ingrédients de produits locaux. ‘’La transformation de nos produits c’est important’’, a ajouté son Directeur général. Il a cité le travail effectué particulièrement sur les céréales (maïs, riz, mil et sorgho), les fruits et les tubercules (manioc et igname). Il y en a sur le bissap, le gingembre, l'arachide, le niébé, etc. Natif de Sandiara, dans le département de Mbour au Sénégal, Serigne Diop est par ailleurs le président de l’association ‘’Passeport pour l’avenir’’. Avec cette structure, il est en train de construire un lycée professionnel dans sa localité d’origine.
APS
Basé dans la Zone industrielle de Yopougon, une commune de la capitale économique ivoirienne, le centre que dirige cet expatrié sénégalais compte une centaine de chercheurs et de personnel d’appoint, de 15 nationalités africaines et européennes. Unique en Afrique, il est l’un des 34 CRD que compte le groupe agroindustriel suisse dans tous les continents. ‘’Dans ce centre, nous nous intéressons à la santé, à la science et à l’agriculture, comme nous disons ici, notre travail c’est de la fourche à la fourchette’’, a expliqué Serigne Diop, titulaire d’un PHD en sciences de l’agroalimentaire. ‘’Toutes les innovations c’est ici que nous les sortons.’’ ‘’Quand on parle de Nestlé, on pense à maggi, cérélac, nido, oubliant toute la recherche qu’il y a en amont et en aval. La recherche est le cœur de notre société (Nestlé) qui met deux milliards de dollars par an et 5000 employés dans la recherche. Et au cœur de cette recherche, nous avons le consommateur’’, a-t-il relevé.
A Abidjan et sur son site secondaire de Zambrako, le Centre de recherche et développement de Nestlé travaille sur 30 ingrédients de produits locaux. ‘’La transformation de nos produits c’est important’’, a ajouté son Directeur général. Il a cité le travail effectué particulièrement sur les céréales (maïs, riz, mil et sorgho), les fruits et les tubercules (manioc et igname). Il y en a sur le bissap, le gingembre, l'arachide, le niébé, etc. Natif de Sandiara, dans le département de Mbour au Sénégal, Serigne Diop est par ailleurs le président de l’association ‘’Passeport pour l’avenir’’. Avec cette structure, il est en train de construire un lycée professionnel dans sa localité d’origine.
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