«Pour cette année 2022, le thème proposé par l’Organisation mondiale des Douanes est : «Accélérer la transformation numérique de la douane en développant une culture de la donnée et un écosystème performant », a rappelé le ministre de l’Economie.
A travers ce thème, explique-t-il, l’Omd entend appeler ses membres à examiner les voies et moyens dont ils doivent se prémunir pour opérer dans un environnement entièrement numérique et créer un modèle opérationnel liant et exploitant les données de l’ensemble de l’écosystème commercial.
«Au-delà de la situation particulière actuelle de notre pays, caractérisée par l’insécurité, la pandémie de la covid-19 et un embargo sous régional, la Douane du Mali est confrontée à plusieurs obstacles d’ordre technique, éthique et juridique.
Face à l’avenir, l’administration des douanes du Mali se doit de révéler ces défis en profitant de la disponibilité de nouvelles technologies et de l’abondance de données très souvent sous-utilisées », a déclaré Alousseni Sanou.
Aussi, les services de douane peuvent, aujourd’hui à son avis, se servir des nouvelles technologies numériques et accéder aux données collectées par divers services gouvernementaux, par certains partenaires ou publiées sur des plates-formes librement accessibles.
Adou FAYE
A travers ce thème, explique-t-il, l’Omd entend appeler ses membres à examiner les voies et moyens dont ils doivent se prémunir pour opérer dans un environnement entièrement numérique et créer un modèle opérationnel liant et exploitant les données de l’ensemble de l’écosystème commercial.
«Au-delà de la situation particulière actuelle de notre pays, caractérisée par l’insécurité, la pandémie de la covid-19 et un embargo sous régional, la Douane du Mali est confrontée à plusieurs obstacles d’ordre technique, éthique et juridique.
Face à l’avenir, l’administration des douanes du Mali se doit de révéler ces défis en profitant de la disponibilité de nouvelles technologies et de l’abondance de données très souvent sous-utilisées », a déclaré Alousseni Sanou.
Aussi, les services de douane peuvent, aujourd’hui à son avis, se servir des nouvelles technologies numériques et accéder aux données collectées par divers services gouvernementaux, par certains partenaires ou publiées sur des plates-formes librement accessibles.
Adou FAYE