«À la suite de la reprise en 2021, les perspectives de croissance de l’économie malienne, quoique affectées par les séries de crises (institutionnelle, sécuritaire, sanitaire et mondiale) et l’embargo, restent bonnes. En effet, il est prévu un taux de croissance moyen d’environ 4% contre 5% initialement prévu », informe Alousséni Sanou.
Selon lui, cette estimation de l’évolution de l’activité économique est bâtie sur des hypothèses suivantes : l’application prolongée des sanctions de la Cedeao (fermeture des frontières avec les pays de la Cedeao et suspension des transactions financières internationales) ; un apaisement du climat sociopolitique (intérieur) ; le renforcement de la sécurisation des personnes et de leurs biens et le retour de l’État (services sociaux de base) sur toute l’étendue du territoire ; les fluctuations des cours mondiaux des principales matières premières, en particulier le pétrole, le blé, l’or et le coton et le renchérissement du coût du commerce mondial ; une bonne et une meilleure répartition de la pluviométrie sur le territoire national ; la poursuite de la politique de soutien au secteur rural notamment à travers la subvention des intrants et la mécanisation de l’agriculture ; la poursuite des réformes du secteur de l’énergie afin d’améliorer l’offre d’énergie ; la valorisation des principales productions brutes de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche à travers la relance et l’appui aux industries de transformation, etc.
Adou FAYE
Selon lui, cette estimation de l’évolution de l’activité économique est bâtie sur des hypothèses suivantes : l’application prolongée des sanctions de la Cedeao (fermeture des frontières avec les pays de la Cedeao et suspension des transactions financières internationales) ; un apaisement du climat sociopolitique (intérieur) ; le renforcement de la sécurisation des personnes et de leurs biens et le retour de l’État (services sociaux de base) sur toute l’étendue du territoire ; les fluctuations des cours mondiaux des principales matières premières, en particulier le pétrole, le blé, l’or et le coton et le renchérissement du coût du commerce mondial ; une bonne et une meilleure répartition de la pluviométrie sur le territoire national ; la poursuite de la politique de soutien au secteur rural notamment à travers la subvention des intrants et la mécanisation de l’agriculture ; la poursuite des réformes du secteur de l’énergie afin d’améliorer l’offre d’énergie ; la valorisation des principales productions brutes de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche à travers la relance et l’appui aux industries de transformation, etc.
Adou FAYE