Concernant les principales matières premières exportées par les pays de l’Union, ajoute la même source, les prix ont également progressé sur la même période, notamment pour le café (+60,9%), le coton (+38,1%), le caoutchouc (+28,5%), le cacao (+6,6%) et l’or (+8,0%).
En revanche, une baisse a été enregistrée sur les marchés de la noix de cajou (-5,5%). S’agissant des denrées alimentaires, l'indice des prix sur les marchés internationaux des produits importés par l'Union s’est accru de 30,6% sur un an, en hausse de 4,2 points de pourcentage par rapport au mois de janvier 2022. Cette accélération est en lien avec le renchérissement des produits de base tels que les huiles (+63,5% contre 54,3% précédemment), le blé (+32,0% contre +26,6%), le riz (+25,2% contre +21,4%) et le sucre (+17,7% contre 28,8%).
La Bceao informe que les indices boursiers internationaux bien qu’en décélération, se sont inscrits en hausse, dans leur ensemble, à fin février 2022 par rapport à la même période de 2021. Les évolutions les plus importantes ont été observées au niveau du CAC 40 (+23,3%), du Standard & Poor's 500 (+17,8%), du Footsie 100 (+16,4%), du Dow Jones (+13,0%), de l’EuroStoxx 50 (+12,7%), du Dax (+7,7%) et du Nasdaq Composite (+5,2%). Sur le marché des changes, l’Euro s’est déprécié sur un an par rapport au yuan chinois (-9,5%), au dollar américain (-7,7%) et à la livre sterling (-5,5%). En revanche, la monnaie européenne s’est appréciée de 1,8% par rapport au yen japonais.
Les taux directeurs des Banques Centrales des pays développés sont restés inchangés en février 2022. À contrario, au niveau des pays émergents, des changements significatifs se sont opérés. Il s’agit notamment de la hausse notable remarquée pour la Banque Centrale de Russie avec un taux directeur qui est passé de 9,500% à 20,000% en février 2022.
En outre, une progression à la hausse est également notée à la Banque Centrale de la République Tchèque (4,500% contre 3,750%), de la Hongrie (3,400% contre 2,900%), du Mexique (6,500% contre 5,500%) et de la Nouvelle Zélande (1,000% contre 0,750%) au cours de la période sous revue.
Adou FAYE
En revanche, une baisse a été enregistrée sur les marchés de la noix de cajou (-5,5%). S’agissant des denrées alimentaires, l'indice des prix sur les marchés internationaux des produits importés par l'Union s’est accru de 30,6% sur un an, en hausse de 4,2 points de pourcentage par rapport au mois de janvier 2022. Cette accélération est en lien avec le renchérissement des produits de base tels que les huiles (+63,5% contre 54,3% précédemment), le blé (+32,0% contre +26,6%), le riz (+25,2% contre +21,4%) et le sucre (+17,7% contre 28,8%).
La Bceao informe que les indices boursiers internationaux bien qu’en décélération, se sont inscrits en hausse, dans leur ensemble, à fin février 2022 par rapport à la même période de 2021. Les évolutions les plus importantes ont été observées au niveau du CAC 40 (+23,3%), du Standard & Poor's 500 (+17,8%), du Footsie 100 (+16,4%), du Dow Jones (+13,0%), de l’EuroStoxx 50 (+12,7%), du Dax (+7,7%) et du Nasdaq Composite (+5,2%). Sur le marché des changes, l’Euro s’est déprécié sur un an par rapport au yuan chinois (-9,5%), au dollar américain (-7,7%) et à la livre sterling (-5,5%). En revanche, la monnaie européenne s’est appréciée de 1,8% par rapport au yen japonais.
Les taux directeurs des Banques Centrales des pays développés sont restés inchangés en février 2022. À contrario, au niveau des pays émergents, des changements significatifs se sont opérés. Il s’agit notamment de la hausse notable remarquée pour la Banque Centrale de Russie avec un taux directeur qui est passé de 9,500% à 20,000% en février 2022.
En outre, une progression à la hausse est également notée à la Banque Centrale de la République Tchèque (4,500% contre 3,750%), de la Hongrie (3,400% contre 2,900%), du Mexique (6,500% contre 5,500%) et de la Nouvelle Zélande (1,000% contre 0,750%) au cours de la période sous revue.
Adou FAYE