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C’est ainsi que la direction de l’ANCAR de la zone des Niayes a organisé, lundi à Mbour, un atelier départemental d’information et de partage sur le projet, à l’intention des organisations de producteurs bénéficiaires. Ceux-ci viennent des cinq communautés rurales du département que sont Malicounda, Sessène, Fissel-Mbadane, Ndiaganio et Sindia, mais également des structures décentralisées. Ce projet sous-régional est financé par la Banque mondiale, dans le cadre duPprogramme de productivité agricole en Afrique de l’Ouest (PPAO/WAAPP) dont l’objectif est d’augmenter la productivité agricole.
‘’Nous avons deux objectifs principaux, à savoir une mission de santé publique, parce que nous avons constaté qu’il y a des problèmes de moisissure, de poison qui est l’aflatoxine qui se trouve dans l’huile artisanale Ségal’’, a renseigné Amadou Moustapha Mbaye de l’ANCAR, coordonnateur du projet. L’autre objectif, a-t-il poursuivi, vise à ‘’améliorer’’ les revenus des ruraux, avec la création de nouveaux métiers, d’emplois ruraux et l'amélioration les revenus des producteurs.
''Ce projet concerne les régions de Thiès, Fatick, Kaolack, Louga, Diourbel et Kaffrine. Pour la région de Thiès, c’est le département de Mbour qui a été choisi, parce que dans les enquêtes-diagnostics qui ont été menées, les résultats ont fait ressortir que les femmes qui s’activent dans la transformation de l’arachide sont bien présentes dans cette partie du Sénégal, a expliqué la directrice de l’ANCAR de la zone des Niayes'', Bineta Mbengue Dièye.
‘’A travers ce projet, nous voulons renforcer les capacités des groupements qui s’activent dans la transformation de l’arachide pour lutter contre l’aflatoxine qui est une des causes du cancer au Sénégal où l’huile artisanale est très consommée’’, a souligné Mme Dièye.
Selon elle, c’est pour palier cela que des innovations technologiques ont été mises en place par l’ITA. Il s’agit donc de diffuser ces innovations technologiques pour avoir une huile de qualité qui puisse être consommée sans aucun risque au niveau des producteurs et des consommateurs
‘’Nous voulons inculquer aux transformateurs d’arachide les bonnes pratiques en matière de trituration d’huile d’arachide. Nous allons ainsi mettre à leur disposition l’unité de traitement qui capte l’aflatoxine’’, a insisté la directrice de l’ANCAR dans la zone des Niayes.
Sur les vingt groupements choisis dans le département de Mbour, seuls cinq bénéficieront de ces unités-là et le choix se fera sur la base de ‘’critères objectifs’’. Il faut que le groupement soit actif dans la transformation de l’arachide, qu’il y ait un local qui lui permettra d’abriter l’unité et d’être actif, a précisé Bineta Mbengue Dièye.
APS
‘’Nous avons deux objectifs principaux, à savoir une mission de santé publique, parce que nous avons constaté qu’il y a des problèmes de moisissure, de poison qui est l’aflatoxine qui se trouve dans l’huile artisanale Ségal’’, a renseigné Amadou Moustapha Mbaye de l’ANCAR, coordonnateur du projet. L’autre objectif, a-t-il poursuivi, vise à ‘’améliorer’’ les revenus des ruraux, avec la création de nouveaux métiers, d’emplois ruraux et l'amélioration les revenus des producteurs.
''Ce projet concerne les régions de Thiès, Fatick, Kaolack, Louga, Diourbel et Kaffrine. Pour la région de Thiès, c’est le département de Mbour qui a été choisi, parce que dans les enquêtes-diagnostics qui ont été menées, les résultats ont fait ressortir que les femmes qui s’activent dans la transformation de l’arachide sont bien présentes dans cette partie du Sénégal, a expliqué la directrice de l’ANCAR de la zone des Niayes'', Bineta Mbengue Dièye.
‘’A travers ce projet, nous voulons renforcer les capacités des groupements qui s’activent dans la transformation de l’arachide pour lutter contre l’aflatoxine qui est une des causes du cancer au Sénégal où l’huile artisanale est très consommée’’, a souligné Mme Dièye.
Selon elle, c’est pour palier cela que des innovations technologiques ont été mises en place par l’ITA. Il s’agit donc de diffuser ces innovations technologiques pour avoir une huile de qualité qui puisse être consommée sans aucun risque au niveau des producteurs et des consommateurs
‘’Nous voulons inculquer aux transformateurs d’arachide les bonnes pratiques en matière de trituration d’huile d’arachide. Nous allons ainsi mettre à leur disposition l’unité de traitement qui capte l’aflatoxine’’, a insisté la directrice de l’ANCAR dans la zone des Niayes.
Sur les vingt groupements choisis dans le département de Mbour, seuls cinq bénéficieront de ces unités-là et le choix se fera sur la base de ‘’critères objectifs’’. Il faut que le groupement soit actif dans la transformation de l’arachide, qu’il y ait un local qui lui permettra d’abriter l’unité et d’être actif, a précisé Bineta Mbengue Dièye.
APS
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