Dans sa communication, Néné Fatoumata Tall a indiqué que cette rencontre vise à identifier les potentialités, en adéquation avec les axes du Pse, susceptibles de faire capter des financements et faciliter les prises de décisions au sein des Systèmes financiers décentralisés. Elle a rappelé que le gouvernement du Sénégal, en partenariat avec la Banque islamique de développement (Bid), a mis sur pied le Promise pour diversifier les sources de financement des jeunes et des femmes évoluant dans les secteurs prioritaires du Pse, surtout en milieu rural.
D’un coût global de 47 milliards de FCA, explique Mme Tall, ce programme a pour objectif général d’améliorer le revenu des bénéficiaires, à travers le renforcement de l'accès durable de la majorité de la population à des services financiers islamiques adaptés sur l'ensemble du territoire national.
Mais, sa véritable finalité, ajouté Néné Fatoumata Tall, est de voir la branche de la microfinance islamique devenir performante et inclusive au service d'une économie émergente, dans une société solidaire.
Pour y parvenir, le Promise ambitionne de soutenir l’élaboration d’un cadre réglementaire favorable à la microfinance islamique ; renforcer les capacités des institutions de micro finance participantes et celles des bénéficiaires finaux ; mettre à disposition des lignes de refinancement en microfinance islamique.
Le coordonnateur du Promise souligne que l’atteinte de ces objectifs spécifiques permettra d’installer définitivement la microfinance islamique au Sénégal et réduire le taux d’exclusion financière des bénéficiaires ainsi que le financement des projets des secteurs prioritaires du Pse.
«Notre programme accorde une place de choix aux chaînes de valeur, en particulier celles relevant des secteurs prioritaires du Pse. C’est pourquoi, dans notre stratégie d’intervention, nous avons prévu d’accorder 60% de l’enveloppe des financements aux chaînes de valeur », a annoncé Mme Tall.
Elle a rappelé que dans la perspective de mieux accompagner le financement des acteurs des chaînes de valeur, une mission avait été menée en 2020, en vue de produire des notes de synthèse sur sept chaînes de valeur, que sont le riz, le maïs, l’anacarde, la pêche artisanale, le bissap, le sel et l’élevage (bétail/viande).
Adou Faye
D’un coût global de 47 milliards de FCA, explique Mme Tall, ce programme a pour objectif général d’améliorer le revenu des bénéficiaires, à travers le renforcement de l'accès durable de la majorité de la population à des services financiers islamiques adaptés sur l'ensemble du territoire national.
Mais, sa véritable finalité, ajouté Néné Fatoumata Tall, est de voir la branche de la microfinance islamique devenir performante et inclusive au service d'une économie émergente, dans une société solidaire.
Pour y parvenir, le Promise ambitionne de soutenir l’élaboration d’un cadre réglementaire favorable à la microfinance islamique ; renforcer les capacités des institutions de micro finance participantes et celles des bénéficiaires finaux ; mettre à disposition des lignes de refinancement en microfinance islamique.
Le coordonnateur du Promise souligne que l’atteinte de ces objectifs spécifiques permettra d’installer définitivement la microfinance islamique au Sénégal et réduire le taux d’exclusion financière des bénéficiaires ainsi que le financement des projets des secteurs prioritaires du Pse.
«Notre programme accorde une place de choix aux chaînes de valeur, en particulier celles relevant des secteurs prioritaires du Pse. C’est pourquoi, dans notre stratégie d’intervention, nous avons prévu d’accorder 60% de l’enveloppe des financements aux chaînes de valeur », a annoncé Mme Tall.
Elle a rappelé que dans la perspective de mieux accompagner le financement des acteurs des chaînes de valeur, une mission avait été menée en 2020, en vue de produire des notes de synthèse sur sept chaînes de valeur, que sont le riz, le maïs, l’anacarde, la pêche artisanale, le bissap, le sel et l’élevage (bétail/viande).
Adou Faye