« Les secteurs émergents de l’énergie, des télécommunications, de l’amont pétrolier, du gaz et de l'agriculture, soutiendront la croissance du portefeuille de prêts en 2014 », a indiqué Phillipe Oduoza , le CEO du groupe.
UBA, il faut le rappeler, a vu son portefeuille de prêts de progresser de 47% en 2013, soit le niveau le plus élevé de croissance dans le secteur bancaire nigérian sur lequel pèse la menace de création d’actifs à risque, dans la mesure où l’ensemble des dépôts de la clientèle n’a évolué que de 23%. Aujourd’hui, plus qu’un objectif opérationnel, diversifier ses secteurs d’interventions est une nécessité pour la banque qui, à l’instar des autres banques implantées au Nigéria, doit faire face à de nouvelles contraintes liées à la nouvelle règlementation formulée par la Banque centrale nigériane.
Pour autant dans les mêmes proportions que celles de 2013, le groupe bancaire continuera d’être un atout important pour les investisseurs. Elle a déclaré, durant les neufs premiers mois de cette période, des revenus de l’ordre de 188 milliards de nairas en hausse de 12,7% par rapport à 2012.
Ayant débuté la semaine sur un titre à 8,85 nairas, UBA était en hausse de 2,57% à mi-journée sur la Nigerian Stock Exchange où elle est cotée, avec un titre à seulement 8,55 nairas. En 2013, elle a cumulé cependant une hausse de 77% et atteint une capitalisation boursière de 1,78 milliard $.
Ecofin
UBA, il faut le rappeler, a vu son portefeuille de prêts de progresser de 47% en 2013, soit le niveau le plus élevé de croissance dans le secteur bancaire nigérian sur lequel pèse la menace de création d’actifs à risque, dans la mesure où l’ensemble des dépôts de la clientèle n’a évolué que de 23%. Aujourd’hui, plus qu’un objectif opérationnel, diversifier ses secteurs d’interventions est une nécessité pour la banque qui, à l’instar des autres banques implantées au Nigéria, doit faire face à de nouvelles contraintes liées à la nouvelle règlementation formulée par la Banque centrale nigériane.
Pour autant dans les mêmes proportions que celles de 2013, le groupe bancaire continuera d’être un atout important pour les investisseurs. Elle a déclaré, durant les neufs premiers mois de cette période, des revenus de l’ordre de 188 milliards de nairas en hausse de 12,7% par rapport à 2012.
Ayant débuté la semaine sur un titre à 8,85 nairas, UBA était en hausse de 2,57% à mi-journée sur la Nigerian Stock Exchange où elle est cotée, avec un titre à seulement 8,55 nairas. En 2013, elle a cumulé cependant une hausse de 77% et atteint une capitalisation boursière de 1,78 milliard $.
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