Expliquant que ce dynamisme engagé par son ministère a valu des résultats notoires dans la contribution aux indicateurs macro-économiques, Oumar Guèye a signalé que la Lettre de politique sectorielle de développement de la pêche et de l’aquaculture (LPSDPA 2016-2022) constitue la feuille de route, articulée autour de la gestion durable de la ressource et la réhabilitation des habitats marins, l’aquaculture et la valorisation des produits halieutiques.
Il présidait, à Saly-Portudal, l’ouverture d’un séminaire dont le thème porte sur ‘’l’amélioration des techniques de transformation, de conservation et de marketing des produits horticoles et halieutiques’’. La rencontre de deux jours est organisée par le Conseil sénégalais des chargeurs (COSEC) et vise à favoriser une synergie entre les acteurs et à définir des stratégies de soutien aux opérateurs économiques des secteurs de la transformation des produits halieutiques et horticoles.
‘’Ce séminaire s’inscrit en droite ligne de la volonté du Chef de l’Etat, le président Macky Sall, d’accompagner les acteurs et opérateurs économiques à l’effet de développer leurs capacités dans les domaines de la transformation, de l’emballage, de la labellisation, du marketing et aux normes SPS (sanitaires et phytosanitaires), nécessaires à la pénétration des marchés de plus en plus exigeants et à l’amélioration des activités des chargeurs’’, a dit le ministre.
Selon lui, l’importance de la pêche dans le développement économique et social du Sénégal justifie l’attention particulière que l’Etat accorde à ce secteur qui enregistre, depuis 2012, des performances remarquables. ‘’La Pêche, premier secteur d'exportation au Sénégal depuis 2015, contribue significativement à l’équilibre de la balance commerciale, avec des recettes d’exportations de 244 milliards FCFA, en 2017’’, a souligné M. Guèye, d’après qui Beaucoup d’efforts sont en train d’être consentis pour réussir le pari de l’autosuffisance alimentaire et d’équilibre de la balance commerciale à travers les exportations des produits de la pêche et de l’horticulture.
Le ministre estime que le Sénégal devrait, à travers des rencontres similaires, développer ‘’une stratégie globale’ qui vise à accroître les connaissances et le renforcement des capacités techniques des acteurs économiques dans tous les domaines, pour mieux pénétrer le marché international et faire face à la concurrence.
Serigne Makhtar Fall
Il présidait, à Saly-Portudal, l’ouverture d’un séminaire dont le thème porte sur ‘’l’amélioration des techniques de transformation, de conservation et de marketing des produits horticoles et halieutiques’’. La rencontre de deux jours est organisée par le Conseil sénégalais des chargeurs (COSEC) et vise à favoriser une synergie entre les acteurs et à définir des stratégies de soutien aux opérateurs économiques des secteurs de la transformation des produits halieutiques et horticoles.
‘’Ce séminaire s’inscrit en droite ligne de la volonté du Chef de l’Etat, le président Macky Sall, d’accompagner les acteurs et opérateurs économiques à l’effet de développer leurs capacités dans les domaines de la transformation, de l’emballage, de la labellisation, du marketing et aux normes SPS (sanitaires et phytosanitaires), nécessaires à la pénétration des marchés de plus en plus exigeants et à l’amélioration des activités des chargeurs’’, a dit le ministre.
Selon lui, l’importance de la pêche dans le développement économique et social du Sénégal justifie l’attention particulière que l’Etat accorde à ce secteur qui enregistre, depuis 2012, des performances remarquables. ‘’La Pêche, premier secteur d'exportation au Sénégal depuis 2015, contribue significativement à l’équilibre de la balance commerciale, avec des recettes d’exportations de 244 milliards FCFA, en 2017’’, a souligné M. Guèye, d’après qui Beaucoup d’efforts sont en train d’être consentis pour réussir le pari de l’autosuffisance alimentaire et d’équilibre de la balance commerciale à travers les exportations des produits de la pêche et de l’horticulture.
Le ministre estime que le Sénégal devrait, à travers des rencontres similaires, développer ‘’une stratégie globale’ qui vise à accroître les connaissances et le renforcement des capacités techniques des acteurs économiques dans tous les domaines, pour mieux pénétrer le marché international et faire face à la concurrence.
Serigne Makhtar Fall