
Ousmane Sonko a invité ses partenaires sociaux à faire de dépassement, soulignant que toute négociation sérieuse doit reposer sur l’expression des besoins et la possibilité de les satisfaire. Il a précisé dans la foulée qu’ils vont multiplier les rencontres et les discussions avec les syndicats et le patronat, soutenant d’ailleurs que « le dialogue n’a jamais été rompu » entre les ministères sectoriels et les syndicats.
Il a, en ce sens, invité les syndicats à travailler avec le gouvernement car, a-t-il expliqué, « il nous faut un moratoire pour un travail à moyen terme afin de répondre à vos revendications ». C’est pourquoi, il les a appelés à « suspendre les mots d’ordre de grève et à sursoir à des manifestations envisagées ».
Ousmane Sonko a fait savoir dans le même sillage : « personne ne gagne dans la confrontation sociale. Nous éviterons autant que possible la confrontation et nous devons tous éviter de nous pousser à la radicalisation ».
Il a réitéré l’engagement de son gouvernement à promouvoir l’ouverture, le dialogue et la transparence. « Nous allons travailler ensemble pour finaliser le pacte que nous voulons signer le 1er mai 2025 », a dit M. Sonko.
Par ailleurs, le ministre en charge des finances et du budget a soutenu que « sans stabilité, il n’y a pas de production et s’il n’y a pas de production, il n’y a pas de croissance ».
Un malade. C’est comme cela que Cheikh Diba a qualifié́ le Sénégal. Malade du poids du déficit budgétaire et de la dette qui pèsent sur ses épaules. Rien que pour 2025, le ministre en charge des finances a déclaré que le Sénégal doit débourser 3000 milliards de francs Cfa, pour paiement de dettes.
Le premier ministre a également souligné que la masse salariale représente 30% des recettes, rappelant que la fonction publique n’est pas une crèche pour caser une clientèle politique. Il a soutenu, à ce titre, et en réponse aux syndicalistes qui dénonçaient « des licenciements abusifs », qu’il « y a des personnes qui perçoivent leur salaire et qui ne travaillent pas, ne mettent jamais les pieds dans leur lieu de travail ».
Pour Ousmane Sonko, « un État qui a les moyens et qui ne soutient pas son secteur privé et ses travailleurs fait de l’injustice. Mais, des travailleurs qui demandent à leur État ce qui est au-dessus de ses moyens font aussi de l’injustice ».
Bassirou MBAYE
Il a, en ce sens, invité les syndicats à travailler avec le gouvernement car, a-t-il expliqué, « il nous faut un moratoire pour un travail à moyen terme afin de répondre à vos revendications ». C’est pourquoi, il les a appelés à « suspendre les mots d’ordre de grève et à sursoir à des manifestations envisagées ».
Ousmane Sonko a fait savoir dans le même sillage : « personne ne gagne dans la confrontation sociale. Nous éviterons autant que possible la confrontation et nous devons tous éviter de nous pousser à la radicalisation ».
Il a réitéré l’engagement de son gouvernement à promouvoir l’ouverture, le dialogue et la transparence. « Nous allons travailler ensemble pour finaliser le pacte que nous voulons signer le 1er mai 2025 », a dit M. Sonko.
Par ailleurs, le ministre en charge des finances et du budget a soutenu que « sans stabilité, il n’y a pas de production et s’il n’y a pas de production, il n’y a pas de croissance ».
Un malade. C’est comme cela que Cheikh Diba a qualifié́ le Sénégal. Malade du poids du déficit budgétaire et de la dette qui pèsent sur ses épaules. Rien que pour 2025, le ministre en charge des finances a déclaré que le Sénégal doit débourser 3000 milliards de francs Cfa, pour paiement de dettes.
Le premier ministre a également souligné que la masse salariale représente 30% des recettes, rappelant que la fonction publique n’est pas une crèche pour caser une clientèle politique. Il a soutenu, à ce titre, et en réponse aux syndicalistes qui dénonçaient « des licenciements abusifs », qu’il « y a des personnes qui perçoivent leur salaire et qui ne travaillent pas, ne mettent jamais les pieds dans leur lieu de travail ».
Pour Ousmane Sonko, « un État qui a les moyens et qui ne soutient pas son secteur privé et ses travailleurs fait de l’injustice. Mais, des travailleurs qui demandent à leur État ce qui est au-dessus de ses moyens font aussi de l’injustice ».
Bassirou MBAYE