Pape Diouf, ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement
Il en a fait la révélation devant la presse en tirant le bilan d’une tournée qui l’a mené durant vendredi et samedi, dans des localités des départements de Dagana et Podor, où il inaugurait et visitait des forages construits par le PEPAM, dont la première phase prend fin cette année.
‘’Cette deuxième phase du PEPAM, financée par la Banque mondiale, permettra à 13 villages du département de Dagana de bénéficier de forages’’, a déclaré M. Diouf, qui s’exprimant samedi à Boké Diallobé, où il faisait escale chez le ministre de l’Intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo, qui s’est joint à sa délégation à Borborel où ils ont procédé à l’inauguration d’un forage.
Le ministre a manifesté sa volonté ‘’de rattraper le retard accusé’’ par cette partie du département de Podor qui, paradoxalement, manque d’eau potable malgré la présence du fleuve Sénégal et de ses défluents, le Ngalenka et le Doué.
‘’Nous avons un devoir d’éradiquer ce paradoxe, et d’ici quelques années, il ne sera qu’un mauvais souvenir’’, a promis le ministre qui salue l’expérience acquise avec le PEPAM.
D’autres bailleurs seront sollicités, et avec le groupe consultatif de Paris, les besoins en eau et assainissement seront largement pris en charge, a ajouté M. Diouf pour qui ‘’il est inadmissible que les gens parcourent des kilomètres pour se ravitailler en eau’’.
Il a rappelé ‘’toutes les instructions données par le président Macky Sall, tendant à réparer les injustices, et à attribuer les mêmes conditions d’existence à tous les Sénégalais, quelle que soit leur lieu d’habitation’’.
Le ministre Abdoulaye Daouda Diallo a lui exprimé le souhait de voir cette zone ''avoir sa part des 40 milliards du PEPAM2'', pour résoudre ce problème récurrent de manque d'eau dans le walo (terme désignant dans le Fouta la zone irriguée par la crue) comme dans le diéry (zone non irriguée par la crue).
APS
‘’Cette deuxième phase du PEPAM, financée par la Banque mondiale, permettra à 13 villages du département de Dagana de bénéficier de forages’’, a déclaré M. Diouf, qui s’exprimant samedi à Boké Diallobé, où il faisait escale chez le ministre de l’Intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo, qui s’est joint à sa délégation à Borborel où ils ont procédé à l’inauguration d’un forage.
Le ministre a manifesté sa volonté ‘’de rattraper le retard accusé’’ par cette partie du département de Podor qui, paradoxalement, manque d’eau potable malgré la présence du fleuve Sénégal et de ses défluents, le Ngalenka et le Doué.
‘’Nous avons un devoir d’éradiquer ce paradoxe, et d’ici quelques années, il ne sera qu’un mauvais souvenir’’, a promis le ministre qui salue l’expérience acquise avec le PEPAM.
D’autres bailleurs seront sollicités, et avec le groupe consultatif de Paris, les besoins en eau et assainissement seront largement pris en charge, a ajouté M. Diouf pour qui ‘’il est inadmissible que les gens parcourent des kilomètres pour se ravitailler en eau’’.
Il a rappelé ‘’toutes les instructions données par le président Macky Sall, tendant à réparer les injustices, et à attribuer les mêmes conditions d’existence à tous les Sénégalais, quelle que soit leur lieu d’habitation’’.
Le ministre Abdoulaye Daouda Diallo a lui exprimé le souhait de voir cette zone ''avoir sa part des 40 milliards du PEPAM2'', pour résoudre ce problème récurrent de manque d'eau dans le walo (terme désignant dans le Fouta la zone irriguée par la crue) comme dans le diéry (zone non irriguée par la crue).
APS