Cheikh Kanté, ministre en charge du Pse estime qu’il y a une bonne dynamique dans l’exécution des projets et réformes de ce plan lancé en 2014. Il présidait hier, un atelier de travail multisectoriel dans le cadre de l’élaboration du bilan annuel de mise en œuvre des projets et réformes de ce plan. «Le Pse a donné des résultats spectaculaires.
Nous avons fait de grands bons dans tous les secteurs de l’économie nationale », a déclaré M. Kanté. Il a précisé qu’il est maintenant question d’aborder le second plan d’actions prioritaires. «Ce bilan va nous permettre de recadrer les priorités de ce plan et de renouveler ses équilibres de croissance qui va nous mener vers l’émergence », a ajouté M. Kanté. Selon lui, ce sont les bonnes performances enregistrées dans la mise en œuvre du Pse qui sont à l’origine de ces taux de croissance de 6,7% en 2017 et de 6,8% prévu en 2018. «Nous allons relever les défis comme nous avons fait dans le passé. On peut donner l’exemple de la production annuelle de riz qui était de 463 mille tonnes en 2012 et qui a été aujourd’hui doublée. Ce qui nous reste à faire est beaucoup plus important que ce que nous avons déjà fait », a confié Cheikh Kanté qui a aussi salué les performances dans les secteurs des mines, de l’énergie.
«Nous sommes dans le cycle des 6% et on frôle même les 7 %. Quand on regarde la courbe de progression de la croissance et celle de l’atteinte des différents résultats dans les secteurs des mines, de l’agriculture, la production rizicole, la pêche, l’élevage, l’industrie on se rend compte que ce n’est pas étonnant que nous atteignions ce taux de croissance parce que les secteurs de production contribuent déjà de manière significative à la croissance », a fait savoir Ibrahima Wade, directeur général du Bureau opérationnel de suivi du Pse. «Sur les 27 projets phares, 13 ont été lancés et autant pour les réformes. Nous sommes sur une bonne trajectoire », a expliqué Ibrahima Wade. Il relève tout de même des contraintes comme l’accès au foncier, le manque de maturité de certains projets.
Mariama Diallo
Nous avons fait de grands bons dans tous les secteurs de l’économie nationale », a déclaré M. Kanté. Il a précisé qu’il est maintenant question d’aborder le second plan d’actions prioritaires. «Ce bilan va nous permettre de recadrer les priorités de ce plan et de renouveler ses équilibres de croissance qui va nous mener vers l’émergence », a ajouté M. Kanté. Selon lui, ce sont les bonnes performances enregistrées dans la mise en œuvre du Pse qui sont à l’origine de ces taux de croissance de 6,7% en 2017 et de 6,8% prévu en 2018. «Nous allons relever les défis comme nous avons fait dans le passé. On peut donner l’exemple de la production annuelle de riz qui était de 463 mille tonnes en 2012 et qui a été aujourd’hui doublée. Ce qui nous reste à faire est beaucoup plus important que ce que nous avons déjà fait », a confié Cheikh Kanté qui a aussi salué les performances dans les secteurs des mines, de l’énergie.
«Nous sommes dans le cycle des 6% et on frôle même les 7 %. Quand on regarde la courbe de progression de la croissance et celle de l’atteinte des différents résultats dans les secteurs des mines, de l’agriculture, la production rizicole, la pêche, l’élevage, l’industrie on se rend compte que ce n’est pas étonnant que nous atteignions ce taux de croissance parce que les secteurs de production contribuent déjà de manière significative à la croissance », a fait savoir Ibrahima Wade, directeur général du Bureau opérationnel de suivi du Pse. «Sur les 27 projets phares, 13 ont été lancés et autant pour les réformes. Nous sommes sur une bonne trajectoire », a expliqué Ibrahima Wade. Il relève tout de même des contraintes comme l’accès au foncier, le manque de maturité de certains projets.
Mariama Diallo