Durant la même période a indiqué le patron de la Dpee, la moyenne dans la zone Uemoa était de 3,8% et dans la zone CEDEAO de 6,4%. Pourtant a-t-il poursuivi, le Sénégal a beaucoup plus investit que ces pays. Mais il n’y a pas eu de croissance selon Pierre Ndiaye. La situation a commencé à changer depuis l’accession du président Macky Sall au pouvoir, en mars 2012. Avec les réformes mises en œuvre, on note une certaine amélioration, dans la croissance du produit intérieur brut. 3, 5% en 2012, 4% en 2013 et des prévisions de 4,6% en 2014. Cette amélioration du taux de croissance n’est toutefois pas suffisante. Parce que explique Pierre Ndiaye, si la tendance actuelle se maintient, la Sénégal réalisera des taux de croissance aux alentours de 5,7 %, en 2018. Ce qui est loin d’être suffisant pour prétendre à l’émergence économique.
Les projets et programmes qui sont dans le Plan Sénégal émergent pourront à en croire Pierre Ndiaye aider le Sénégal à réaliser des taux de croissance de 7 voire 8%, à l’horizon 2018. Bien entendu a-t-il précisé si les réformes nécèssaires sont entreprises, particulièrement dans le domaine de l’énergie.
Ismaila BA
Les projets et programmes qui sont dans le Plan Sénégal émergent pourront à en croire Pierre Ndiaye aider le Sénégal à réaliser des taux de croissance de 7 voire 8%, à l’horizon 2018. Bien entendu a-t-il précisé si les réformes nécèssaires sont entreprises, particulièrement dans le domaine de l’énergie.
Ismaila BA