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Le ministre de l'Hydraulique et de l'Assainissement Pape Diouf
Le recours aux acteurs privés devrait permettre de soulager l'Etat et d'induire une meilleure supervision des actions prévues sur le terrain, a-t-il indiqué en présidant un atelier final de restitution de l'étude de définition de l'organisation et du financement de l'exploitation et de la maintenance des forages ruraux motorisés en perspective de la mise en place de l'OFOR.
"De grands efforts ont été faits, parce qu'on en est aujourd'hui à 1.513 forages motorisés disponibles à 98%. Mais cela ne suffit pas, puisque cela constitue des charges pour l'Etat et on a pensé que le privé a un rôle à jouer dans la gestion de ces forages", a-t-il dit.
Selon le ministre de l'Hydraulique et de l'Assainissement, cette réforme en cours permettrait aux pouvoirs publics d'avoir "les coudés franches" pour que les initiatives arrêtées dans ce domaine "deviennent effectives sur le terrain".
"En milieu rural, a déclaré Pape Diouf, nous sommes à 84,1%, alors que ce qui nous a été fixé en 2005 en signant le PEPAM (programme d’eau potable et d’assainissement du millénaire) c'était 82%. Nous avons donc dépassé l'objectif avant terme".
Il a ainsi annoncé la mise en place prochaine de 300 forages en milieu rural. "Cela veut dire que des efforts sont en train d'être faits. Notre objectif, ce n'est pas d'avoir 84%, 90%, notre objectif c'est d'avoir une couverture universelle pour tous les Sénégalais", a souligné le ministre de l'Hydraulique et de l'Assainissement.
A cet effet, l'Office de gestion des forages ruraux (OFOR) sera mise en place pour l'organisation, le financement, l'exploitation et la maintenance des forages ruraux motorisés.
"L'Office sera un établissement public à caractère commercial, ce qui lui permettra d'avoir une autonomie de gestion", ce qui tranche d'avec les "lourdeurs administratives" actuelles, en dépit des efforts consentis par la Direction de l'exploitation et de la maintenance des services de l'hydraulique, a explique Pape Diouf.
Cet Office pourra également superviser les délégations privées qui auront désormais en charge la maintenance et la production des forages ruraux, ce qui constitue selon lui "un ouf de soulagement pour l'Etat" en préjugeant d'une "meilleure supervision des actions qui sont menées sur le terrain".
APS
"De grands efforts ont été faits, parce qu'on en est aujourd'hui à 1.513 forages motorisés disponibles à 98%. Mais cela ne suffit pas, puisque cela constitue des charges pour l'Etat et on a pensé que le privé a un rôle à jouer dans la gestion de ces forages", a-t-il dit.
Selon le ministre de l'Hydraulique et de l'Assainissement, cette réforme en cours permettrait aux pouvoirs publics d'avoir "les coudés franches" pour que les initiatives arrêtées dans ce domaine "deviennent effectives sur le terrain".
"En milieu rural, a déclaré Pape Diouf, nous sommes à 84,1%, alors que ce qui nous a été fixé en 2005 en signant le PEPAM (programme d’eau potable et d’assainissement du millénaire) c'était 82%. Nous avons donc dépassé l'objectif avant terme".
Il a ainsi annoncé la mise en place prochaine de 300 forages en milieu rural. "Cela veut dire que des efforts sont en train d'être faits. Notre objectif, ce n'est pas d'avoir 84%, 90%, notre objectif c'est d'avoir une couverture universelle pour tous les Sénégalais", a souligné le ministre de l'Hydraulique et de l'Assainissement.
A cet effet, l'Office de gestion des forages ruraux (OFOR) sera mise en place pour l'organisation, le financement, l'exploitation et la maintenance des forages ruraux motorisés.
"L'Office sera un établissement public à caractère commercial, ce qui lui permettra d'avoir une autonomie de gestion", ce qui tranche d'avec les "lourdeurs administratives" actuelles, en dépit des efforts consentis par la Direction de l'exploitation et de la maintenance des services de l'hydraulique, a explique Pape Diouf.
Cet Office pourra également superviser les délégations privées qui auront désormais en charge la maintenance et la production des forages ruraux, ce qui constitue selon lui "un ouf de soulagement pour l'Etat" en préjugeant d'une "meilleure supervision des actions qui sont menées sur le terrain".
APS
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