chroniques
Amadou Bâ, ministre de l’économie et des finances recevant les clefs des voitures des mains de Monsieur Romain Shneider, ministre de la coopération et de l'action humanitaire
Il s’exprimait à l’occasion de l’ouverture officielle de la 10èmesession de la commission de partenariat entre le Luxembourg et le Sénégal. Selon le ministre, le financement du Luxembourg se situe à hauteur de 45 milliards FCFA.
« Grâce au soutien et l’appui multiforme que le Grand Duché de Luxembourg apporte pour le développement économique et social du Sénégal, de multiples activités ont pu être réalisées au cours de ces dernières années », a encore estimé M. Bâ. A ses yeux, la coopération bilatérale entre les deux pays a permis de bâtir, au fil des années, un véritable socle sur lequel repose un partenariat fructueux. « Cette coopération place l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) au centre de nos préoccupations » a laissé entendre le ministre se félicitant au passage qu’au terme d’un important processus caractérisé par une démarche participative, les deux pays sont arrivés à progressivement à mettre en place les dispositifs et outils nécessaires à la consolidation de l’approche programme et de la modalité de l’exécution nationale. « Cette modalité de livraison de l’aide requiert une forte appropriation des mécanismes convenus d’un commun accord par l’ensemble des acteurs concernés par le programme indicatif de coopération (PIC 3 », a affirmé Amadou Bâ.
El Hadj Diakhaté
« Grâce au soutien et l’appui multiforme que le Grand Duché de Luxembourg apporte pour le développement économique et social du Sénégal, de multiples activités ont pu être réalisées au cours de ces dernières années », a encore estimé M. Bâ. A ses yeux, la coopération bilatérale entre les deux pays a permis de bâtir, au fil des années, un véritable socle sur lequel repose un partenariat fructueux. « Cette coopération place l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) au centre de nos préoccupations » a laissé entendre le ministre se félicitant au passage qu’au terme d’un important processus caractérisé par une démarche participative, les deux pays sont arrivés à progressivement à mettre en place les dispositifs et outils nécessaires à la consolidation de l’approche programme et de la modalité de l’exécution nationale. « Cette modalité de livraison de l’aide requiert une forte appropriation des mécanismes convenus d’un commun accord par l’ensemble des acteurs concernés par le programme indicatif de coopération (PIC 3 », a affirmé Amadou Bâ.
El Hadj Diakhaté
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