En effet, à l’échelle mondiale, on estime à 83 milliards de dollars le manque-à-gagner pour le secteur halieutique en 2012 par rapport à un scénario optimal, en grande partie à cause de la surpêche.
Ce rapport, qui s’appuie sur un modèle bioéconomique conçu par le professeur Ragnar Arnason, de l’université d’Islande, vient actualiser une étude publiée en 2009 par la Banque mondiale et la FAO intitulée The Sunken Billions: The Economic Justification for Fisheries Reform.
En quantifiant précisément le manque-à-gagner potentiel pour les pêches maritimes mondiales, cette étude plaidait pour une amélioration urgente de la gouvernance du secteur et a permis de relancer la dynamique en faveur de la reconstitution des réserves de poissons.
Depuis, la Banque mondiale et ses partenaires ont œuvré avec différents pays pour placer le secteur de la pêche sur une trajectoire plus durable. Voici un aperçu d’un certain nombre d’initiatives récentes ou en cours qui présentent différents éléments de solutions prometteuses.
Pathé TOURE
Ce rapport, qui s’appuie sur un modèle bioéconomique conçu par le professeur Ragnar Arnason, de l’université d’Islande, vient actualiser une étude publiée en 2009 par la Banque mondiale et la FAO intitulée The Sunken Billions: The Economic Justification for Fisheries Reform.
En quantifiant précisément le manque-à-gagner potentiel pour les pêches maritimes mondiales, cette étude plaidait pour une amélioration urgente de la gouvernance du secteur et a permis de relancer la dynamique en faveur de la reconstitution des réserves de poissons.
Depuis, la Banque mondiale et ses partenaires ont œuvré avec différents pays pour placer le secteur de la pêche sur une trajectoire plus durable. Voici un aperçu d’un certain nombre d’initiatives récentes ou en cours qui présentent différents éléments de solutions prometteuses.
Pathé TOURE