chroniques
Selon la Banque cette croissance devrait augmenter légèrement pour atteindre 5,1 % en 2015 et en 2016, « grâce au raffermissement de la demande extérieure et aux investissements dans les ressources naturelles, l’infrastructure et la production agricole ».
Le rapport GEP estime que la croissance devrait être particulièrement soutenue en Afrique de l’Est, grâce aux entrées d’investissements directs étrangers (IDE) attirés par les ressources en gaz naturel offshore en Tanzanie et par la mise en production des champs pétrolifères en Ouganda et au Kenya. « Même si la croissance reste faible en Afrique du Sud, elle se raffermira quelque peu en Angola et restera robuste au Nigéria, qui est la plus grande économie de la région », notent les auteurs du rapport.
Se prononçant sur la croissance l’Afrique subsaharienne en 2013 (4,7% contre 3,6% en 2012), en 2013, le rapport relève que cette progression est liée à la robustesse de la demande intérieure. La Banque mondiale, note toutefois que le taux de croissance global de la région a souffert de la faible progression de 1,9 % affichée par l’Afrique du Sud en raison de goulets d’étranglement structurels, des relations tendues entre employeurs et employés et du manque de confiance des consommateurs et des investisseurs. « Si l’on fait abstraction de l’Afrique du Sud, le taux de croissance du PIB de la région s’établit à 6 % pour 2013 », signale le rapport GEP. Le document relève d’autre part que les déficits budgétaires et du compte courant se sont aggravés dans toute la région, par suite de l’ampleur des dépenses publiques, de la chute des cours des produits de base et de la forte progression des importations.
El Hadj Diakhaté
Le rapport GEP estime que la croissance devrait être particulièrement soutenue en Afrique de l’Est, grâce aux entrées d’investissements directs étrangers (IDE) attirés par les ressources en gaz naturel offshore en Tanzanie et par la mise en production des champs pétrolifères en Ouganda et au Kenya. « Même si la croissance reste faible en Afrique du Sud, elle se raffermira quelque peu en Angola et restera robuste au Nigéria, qui est la plus grande économie de la région », notent les auteurs du rapport.
Se prononçant sur la croissance l’Afrique subsaharienne en 2013 (4,7% contre 3,6% en 2012), en 2013, le rapport relève que cette progression est liée à la robustesse de la demande intérieure. La Banque mondiale, note toutefois que le taux de croissance global de la région a souffert de la faible progression de 1,9 % affichée par l’Afrique du Sud en raison de goulets d’étranglement structurels, des relations tendues entre employeurs et employés et du manque de confiance des consommateurs et des investisseurs. « Si l’on fait abstraction de l’Afrique du Sud, le taux de croissance du PIB de la région s’établit à 6 % pour 2013 », signale le rapport GEP. Le document relève d’autre part que les déficits budgétaires et du compte courant se sont aggravés dans toute la région, par suite de l’ampleur des dépenses publiques, de la chute des cours des produits de base et de la forte progression des importations.
El Hadj Diakhaté
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