«La Pegn est ressortie débitrice à 13.889,3 Mds contre 10.561,3 milliards un an plus tôt, soit une dégradation de 3.327,9 milliards, reflétant le financement du solde des opérations non financières. Cette variation traduit une augmentation plus importante des engagements (+3.842,8 milliards) que des avoirs (+514,3 milliards) », lit-on dans le document.
La Bceao souligne que l'accroissement des engagements est lié aux capitaux mobilisés au titre des Investissements directs étrangers (+1.801,1 milliards), des investissements de portefeuille (+545,7 milliards) et des autres investissements (+1.495,5 milliards).
L’évolution des avoirs s'explique, quant à elle, par l'accroissement simultané des investissements directs (+41,7 milliards), des investissements de portefeuille (+269,1 Mds), des autres investissements (+253,8 milliards) ainsi que par une diminution des avoirs de réserve (-50,2 milliards).
Au total, la dégradation de la Peg reflète, pour l'essentiel, l’augmentation des engagements nets au titre des investissements directs (+1.759,4 milliards), des investissements de portefeuille (+279,6 milliards) et des autres investissements (+1.241,7 milliards) ainsi qu’une baisse des avoirs de réserve de 50,2 milliards.
Adou Faye
La Bceao souligne que l'accroissement des engagements est lié aux capitaux mobilisés au titre des Investissements directs étrangers (+1.801,1 milliards), des investissements de portefeuille (+545,7 milliards) et des autres investissements (+1.495,5 milliards).
L’évolution des avoirs s'explique, quant à elle, par l'accroissement simultané des investissements directs (+41,7 milliards), des investissements de portefeuille (+269,1 Mds), des autres investissements (+253,8 milliards) ainsi que par une diminution des avoirs de réserve (-50,2 milliards).
Au total, la dégradation de la Peg reflète, pour l'essentiel, l’augmentation des engagements nets au titre des investissements directs (+1.759,4 milliards), des investissements de portefeuille (+279,6 milliards) et des autres investissements (+1.241,7 milliards) ainsi qu’une baisse des avoirs de réserve de 50,2 milliards.