« Le présent avis porte à la connaissance des établissements de crédit que les créances sur les entreprises privées cotées B peuvent désormais être admises en support des refinancements de la Banque centrale si elles disposent d’une garantie d’un Etat membre de l’Umoa ou bénéficient d’un dispositif d’accompagnement financier d’un Etat membre de l’Umoa », précise la Bceao dans un avis signé par son gouverneur, Tiémoko Meyliet Koné. Selon le document, les établissements de crédit peuvent adresser à la Banque centrale une demande d’inscription des effets représentatifs des créances concernées sur la liste des collatéraux admissibles au refinancement.
Adou FAYE
Adou FAYE