« 726.000 têtes dont 245.000 pour la région de Dakar, ce sont les estimations en mouton que le Sénégal aura besoin pour la tabaski 2013 », a déclaré Mme le ministre de l’Elevage Aminata Mbengue Ndiaye. Elle présidait une réunion de concertation entre son département, le ministère des Infrastructures et des Transports, les opérateurs économiques, éleveurs et transporteurs. Cette réunion entre dans le cadre des préparatifs de la fête de Tabaski prévue en octobre. Pour faciliter le déplacement des moutons vers les différentes zones, « nous avons prévu 800 camions et 200 bétaillères », a soutenu le ministre de l’Elevage. Par ailleurs, Aminata Mbengue Ndiaye soutient qu’une planification et une programmation du convoyage des moutons vers les différentes zones seront faites pour éviter, « qu’il y ait de la surenchère sur le marché ». Pour alléger le prix de vente des moutons, nous allons demander au représentant du ministre des Infrastructures et du Transport de nous proposer « une simulation de prix sur différentes distances pour nous permettre d’avoir la structuration du prix du transport », indique Mme le ministre de l’Elevage. Ainsi, avec les éleveurs, « nous pourrons trouver le juste prix, afin de permettre au consommateur d’avoir un mouton à bon prix », estime-t-elle. Toujours, dans ce même sillage « il y aura des taxes qui seront exonérées au niveau de différents points».
Concernant le problème de la restructuration du parc des petits ruminants réclamée par les éleveurs, le ministre de l’Elevage a assuré qu’un « Comité régional de développement spécial sera organisé sur le sujet avec le gouverneur de la Région de Dakar ». Car c’est en ces endroits que « nous allons recevoir le plus de moutons », affirme-t-elle. Cependant, chaque année « il se pose des problèmes de sécurité à ce niveau », souligne Aminata Mbengue Ndiaye. C’est pourquoi, « il faudra prendre les dispositions idoines, afin que nous ayons une vente sécurisée » a-t-elle fait savoir.
S’agissant des tracasseries sur les routes « nous allons en discuter avec le Ministère des Infrastructures et des Transports, avec le Ministère des Forces Armées, le Ministre des Collectivités Locales et avec le Ministère de l’Intérieur », pour trouver une solution, déclare Mme Ndiaye. A ce propos, le représentant du Ministre des Infrastructures et des Transports, Mamadou Kane Diaw soutient qu’une offre de transport sera mise à la disposition des éleveurs, afin de leur « faciliter la circulation pour un approvisionnement correct ». Selon lui, « la préoccupation des éleveurs est le coût du transport qui reste très élevé ». C’est pourquoi, « le gouvernement qui voudrait que le prix du transport soit réduit a pris à bras le corps cette problématique», affirme-t-il. Selon lui, « cela permettra aux ménages d’accéder plus facilement aux moutons ». Pour ce faire, « nous voulons éviter les intermédiaires qui viennent greffer le coût du transport », indique le représentant du ministre des Infrastructures et des Transports. Pour la facilitation de la circulation des véhicules de transports, «le Ministère va mettre en place des macarons pour faciliter le contrôle routier », renseigne-t-il. Aussi, « nous allons veiller à réduire les kilomètres inutiles pour rapprocher les vendeurs des consommateurs » a-t-il fait savoir.
Pour ailleurs, dans le souci de permettre aux consommateurs d’avoir le mouton à un coût acceptable, le Ministère des Infrastructures et des Transports va proposer une simulation des prix sur les différentes distances. A cela s’ajoute une exonération des taxes. Un conseil interministériel sera consacré à la tabaski et permettra de concrétiser et prendre les décisions définitives sur l’ensemble des questions qui ont été soulevées.
Amy Diallo
Concernant le problème de la restructuration du parc des petits ruminants réclamée par les éleveurs, le ministre de l’Elevage a assuré qu’un « Comité régional de développement spécial sera organisé sur le sujet avec le gouverneur de la Région de Dakar ». Car c’est en ces endroits que « nous allons recevoir le plus de moutons », affirme-t-elle. Cependant, chaque année « il se pose des problèmes de sécurité à ce niveau », souligne Aminata Mbengue Ndiaye. C’est pourquoi, « il faudra prendre les dispositions idoines, afin que nous ayons une vente sécurisée » a-t-elle fait savoir.
S’agissant des tracasseries sur les routes « nous allons en discuter avec le Ministère des Infrastructures et des Transports, avec le Ministère des Forces Armées, le Ministre des Collectivités Locales et avec le Ministère de l’Intérieur », pour trouver une solution, déclare Mme Ndiaye. A ce propos, le représentant du Ministre des Infrastructures et des Transports, Mamadou Kane Diaw soutient qu’une offre de transport sera mise à la disposition des éleveurs, afin de leur « faciliter la circulation pour un approvisionnement correct ». Selon lui, « la préoccupation des éleveurs est le coût du transport qui reste très élevé ». C’est pourquoi, « le gouvernement qui voudrait que le prix du transport soit réduit a pris à bras le corps cette problématique», affirme-t-il. Selon lui, « cela permettra aux ménages d’accéder plus facilement aux moutons ». Pour ce faire, « nous voulons éviter les intermédiaires qui viennent greffer le coût du transport », indique le représentant du ministre des Infrastructures et des Transports. Pour la facilitation de la circulation des véhicules de transports, «le Ministère va mettre en place des macarons pour faciliter le contrôle routier », renseigne-t-il. Aussi, « nous allons veiller à réduire les kilomètres inutiles pour rapprocher les vendeurs des consommateurs » a-t-il fait savoir.
Pour ailleurs, dans le souci de permettre aux consommateurs d’avoir le mouton à un coût acceptable, le Ministère des Infrastructures et des Transports va proposer une simulation des prix sur les différentes distances. A cela s’ajoute une exonération des taxes. Un conseil interministériel sera consacré à la tabaski et permettra de concrétiser et prendre les décisions définitives sur l’ensemble des questions qui ont été soulevées.
Amy Diallo