Il s’agit de deux nouveaux projets sous forme de dons entièrement financés par l’UE à travers le Fonds européen de développement (FED). Le premier don, d’un montant de 18 milliards francs CFA, est relatif au projet d’amélioration de l’accès à l’eau, à l’assainissement et la gestion des ressources en eau dans les zones rurales des régions de Tambacounda, Kolda et Sédhiou, et l’appui institutionnel à la gouvernance du secteur ‘’PEPAM-UE’’.
Selon le ministre, ce projet ‘’vise à réduire la pauvreté et améliorer de façon durable la santé en milieu rural, grâce à l’accès à l’eau potable et à l’assainissement dans les régions concernées et à améliorer la gouvernance du secteur de l’eau et de l’assainissement’’. ‘’Le projet PEPAM-UE devra contribuer à l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement dans les régions de Tambacounda, Kolda et Sédhiou’’, a-t-il indiqué.
La seconde convention de financement, d’un montant de 2 milliards, est relative au projet d’appui à la gestion des frontières. Ce projet vise à faciliter la libre circulation des personnes et des biens et à assurer la sécurité du territoire. Ce ‘’projet sera mis en œuvre par l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) et devra contribuer, à l’issue de sa période de mise en œuvre opérationnelle, à l’atteinte des objectifs fixés dans la Stratégie nationale de gestion des frontières’’, a déclaré Amadou Ba. Dominque Dellicour a fait part de la volonté de l'UE ''d’aider le Sénégal à relever les défis'' concernant cette question sécuritaire. ‘’L’Union européenne est sensible à la thématique de la gestion des frontières’’, a dit Mme Dellicour .
Elle a affirmé que ‘’les défis auxquels le Sénégal doit faire face sont nombreux'', citant l’existence de points d’entrée non contrôlés à la frontière avec la Mauritanie. ‘’ Les autres défis identifiés sont des infrastructures inadaptées, le sous-équipement des postes existants, les longues attentes et les pratiques anormales aux postes frontières’’, a-t-elle expliqué.
APS
Selon le ministre, ce projet ‘’vise à réduire la pauvreté et améliorer de façon durable la santé en milieu rural, grâce à l’accès à l’eau potable et à l’assainissement dans les régions concernées et à améliorer la gouvernance du secteur de l’eau et de l’assainissement’’. ‘’Le projet PEPAM-UE devra contribuer à l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement dans les régions de Tambacounda, Kolda et Sédhiou’’, a-t-il indiqué.
La seconde convention de financement, d’un montant de 2 milliards, est relative au projet d’appui à la gestion des frontières. Ce projet vise à faciliter la libre circulation des personnes et des biens et à assurer la sécurité du territoire. Ce ‘’projet sera mis en œuvre par l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) et devra contribuer, à l’issue de sa période de mise en œuvre opérationnelle, à l’atteinte des objectifs fixés dans la Stratégie nationale de gestion des frontières’’, a déclaré Amadou Ba. Dominque Dellicour a fait part de la volonté de l'UE ''d’aider le Sénégal à relever les défis'' concernant cette question sécuritaire. ‘’L’Union européenne est sensible à la thématique de la gestion des frontières’’, a dit Mme Dellicour .
Elle a affirmé que ‘’les défis auxquels le Sénégal doit faire face sont nombreux'', citant l’existence de points d’entrée non contrôlés à la frontière avec la Mauritanie. ‘’ Les autres défis identifiés sont des infrastructures inadaptées, le sous-équipement des postes existants, les longues attentes et les pratiques anormales aux postes frontières’’, a-t-elle expliqué.
APS