La publication de rappeler qu’en août 2022, le Sénégal par le biais de son ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération a signé avec la Bad un accord de prêt d’environ 79 milliards de francs CFA pour un « Programme de production alimentaire d’urgence ». Selon la même source, le programme « vise à atténuer les chocs exogènes sur le plan financier, économique, social » et à conforter « la tendance haussière des productions céréalières observée ces dernières années, notamment en concentrant les efforts sur la mise à dispositions des principaux intrants aux producteurs ».
Il permettra aussi de renforcer la souveraineté alimentaire du pays par la réduction de la dépendance à l’importation des céréales de base et des produits horticoles à vocation vivrière. Mise en œuvre sous forme d’appui budgétaire, le programme s’articulera autour de trois composantes : (i) améliorer l’accès aux semences certifiées et l’appui conseil; (ii) améliorer l’accès aux engrais et aux exploitations agricoles ; et (iii) améliorer la gouvernance et la mise en œuvre des politiques publiques dans les secteurs agricoles, avec la digitalisation du processus de distribution des engrais et des semences.
«Les résultats attendus sont, entre autres, la production de 600 000 tonnes de céréales (riz, maïs, mil), 120 000 tonnes de niébé et 150 000 tonnes de pomme de terre. En sus, environ 850 000 ménages, dont 20% dirigés par des femmes, pourront avoir un accès sécurisé à des semences et intrants en qualité suffisante », détaille le document.
Adou FAYE
Il permettra aussi de renforcer la souveraineté alimentaire du pays par la réduction de la dépendance à l’importation des céréales de base et des produits horticoles à vocation vivrière. Mise en œuvre sous forme d’appui budgétaire, le programme s’articulera autour de trois composantes : (i) améliorer l’accès aux semences certifiées et l’appui conseil; (ii) améliorer l’accès aux engrais et aux exploitations agricoles ; et (iii) améliorer la gouvernance et la mise en œuvre des politiques publiques dans les secteurs agricoles, avec la digitalisation du processus de distribution des engrais et des semences.
«Les résultats attendus sont, entre autres, la production de 600 000 tonnes de céréales (riz, maïs, mil), 120 000 tonnes de niébé et 150 000 tonnes de pomme de terre. En sus, environ 850 000 ménages, dont 20% dirigés par des femmes, pourront avoir un accès sécurisé à des semences et intrants en qualité suffisante », détaille le document.
Adou FAYE