L'orientation de l'activité industrielle est le reflet de la baisse notée au niveau de l'industrie manufacturière. Le rythme d'augmentation des activités extractives s'est également replié, en lien avec la mauvaise tenue de l'extraction des minerais d'uranium au Niger et d'or en Côte d'Ivoire et au Sénégal, ainsi que du pétrole brut au Niger et en Côte d'Ivoire », renseigne la Bceao.
Elle ajoute que le redressement de la production d'énergie (+0,0 en avril contre -0,1% en mars), en liaison avec la hausse observée au Niger, au Burkina et en Guinée-Bissau, a atténué la tendance. La mauvaise tenue des activités manufacturières est attribuable essentiellement à la baisse de la production des produits chimiques (Sénégal, Mali, Togo et Côte d'Ivoire), des produits pétroliers raffinés (Niger, Côte d'Ivoire et Sénégal) et des produits alimentaires (Bénin, Sénégal et Guinée Bissau).
L'accroissement des activités de fabrication de textiles (Mali et Togo) et des autres produits minéraux non métalliques (Togo, Sénégal et Niger ) a modéré la tendance.
Adou FAYE
Elle ajoute que le redressement de la production d'énergie (+0,0 en avril contre -0,1% en mars), en liaison avec la hausse observée au Niger, au Burkina et en Guinée-Bissau, a atténué la tendance. La mauvaise tenue des activités manufacturières est attribuable essentiellement à la baisse de la production des produits chimiques (Sénégal, Mali, Togo et Côte d'Ivoire), des produits pétroliers raffinés (Niger, Côte d'Ivoire et Sénégal) et des produits alimentaires (Bénin, Sénégal et Guinée Bissau).
L'accroissement des activités de fabrication de textiles (Mali et Togo) et des autres produits minéraux non métalliques (Togo, Sénégal et Niger ) a modéré la tendance.
Adou FAYE