Mansa Kaly Dontan Oualy qui s’exprimait en marge de l’atelier de formation et de sensibilisation au profit du Collectif des journalistes économiques du Sénégal (Cojes) estime qu’«après une année d’activités, il reste beaucoup à faire». Car informe M. Oualy, il y a des contraintes au niveau du système d’information de gestion des Systèmes financiers décentralisés (Sfd) pour prendre en compte le mécanisme de financement islamique, mais également du côté des populations qui n’appréhendent pas suffisamment ce concept.
Par conséquent, le coordonnateur trouve qu’il faut encore beaucoup d’efforts dans la communication et la sensibilisation pour booster davantage l’absorption de la ligne de financement de 4 milliards de francs Cfa mise en place par la Banque islamique de développement (Bid), via les institutions de microfinance, notamment le Crédit mutuel du Sénégal (Cms), l’Alliance de crédit et d’épargne pour la production (Acep) et le Crédit solidaire Afrique (Csa), pour financer les projets des femmes et des jeunes filles sénégalaises.
Bassirou MBAYE
Par conséquent, le coordonnateur trouve qu’il faut encore beaucoup d’efforts dans la communication et la sensibilisation pour booster davantage l’absorption de la ligne de financement de 4 milliards de francs Cfa mise en place par la Banque islamique de développement (Bid), via les institutions de microfinance, notamment le Crédit mutuel du Sénégal (Cms), l’Alliance de crédit et d’épargne pour la production (Acep) et le Crédit solidaire Afrique (Csa), pour financer les projets des femmes et des jeunes filles sénégalaises.
Bassirou MBAYE