« Le gouvernement du Sénégal en partenariat avec la Banque islamique de développement (Bid) a mis sur place le Programme national de développement de la microfinance islamique (Promise) au Sénégal », a dit d’emblée la coordonnatrice de ladite structure. Cela, rappelle Yaye Fatou Diagne, en vue de diversifier les sources de financements de projets des jeunes et des femmes ciblant les porteurs du Plan Sénégal émergent (Pse), surtout en milieu rural.
D’un coût global de 47 milliards de francs Cfa étalé sur cinq (05) années renouvelables, la coordonnatrice indique que le Promise a pour objectif général d’améliorer le revenu des bénéficiaires, à travers le renforcement de l’accès durable de la majorité de la population à des services financiers islamiques adaptés sur l’ensemble du territoire national d’ici 2025.
Mais, précise-t-elle, la véritable finalité du Promise est de voir la branche de la microfinance islamique devenir performante, inclusive et pérenne au service d’une économie émergente, dans une société solidaire.
Pour parvenir à cette finalité, elle confie que la structure ambitionne de soutenir l’élaboration d’un cadre réglementaire de la microfinance islamique, renforcer les capacités des institutions de microfinance participantes et celles bénéficiaires cibles et enfin mettre à disposition une ligne de refinancement en microfinance islamique.
Bassirou MBAYE
D’un coût global de 47 milliards de francs Cfa étalé sur cinq (05) années renouvelables, la coordonnatrice indique que le Promise a pour objectif général d’améliorer le revenu des bénéficiaires, à travers le renforcement de l’accès durable de la majorité de la population à des services financiers islamiques adaptés sur l’ensemble du territoire national d’ici 2025.
Mais, précise-t-elle, la véritable finalité du Promise est de voir la branche de la microfinance islamique devenir performante, inclusive et pérenne au service d’une économie émergente, dans une société solidaire.
Pour parvenir à cette finalité, elle confie que la structure ambitionne de soutenir l’élaboration d’un cadre réglementaire de la microfinance islamique, renforcer les capacités des institutions de microfinance participantes et celles bénéficiaires cibles et enfin mettre à disposition une ligne de refinancement en microfinance islamique.
Bassirou MBAYE