chroniques
Il s’exprimait à l’occasion d’un atelier de renforcement de capacités et partages des expériences sur le genre et l’énergie organisé par la Banque mondiale dans le cadre du programme d’accès á l’énergie et aux énergies renouvelables en Afrique (AFREA)
« Les recherches menées dans le monde ont montré que l'inégalité entre les sexes a tendance à ralentir la croissance économique et entraver la réduction de la pauvreté », souligne-t-il. A son avis, dans toute société, les hommes et les femmes, d’une manière ou d’une autre, ont tendance à jouer différents rôles sociaux- économiques, ont des responsabilités différents et peuvent avoir un accès inégal aux opportunités économiques et aux ressources pour mener des investissements.
M. Papathanasiou estime par ailleurs que les femmes et les hommes peuvent avoir des capacités différentes, des besoins, des intérêts et des priorités et peuvent apporter différentes contributions à des initiatives de développement.
« C’est pourquoi, la Banque mondiale attache une grande importance à la problématique du genre, compte tenu de son lien évident avec la lutte contre la pauvreté. Cette lutte engage des femmes et des hommes avertis et outillés pour réaliser leur bien-être », avance-t-il.
Selon lui, au niveau de la Banque mondiale, la promotion de l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes sont considérées comme une dimension intégrante et nécessaire des efforts pour réduire la pauvreté et stimuler la croissance économique.
« Promouvoir le programme de croissance inclusive de la Banque mondiale ne peut se réaliser que par l’élargissement de l'accès des femmes aux opportunités économiques et aux ressources » note encore le fonctionnaire de la Banque.
Il a ajouté que de plus en plus, les approches sensibles au genre pour le développement sont intégrées dans la planification et la mise en œuvre des projets et programmes financés par la Banque Mondiale.
El Hadj Diakhaté
« Les recherches menées dans le monde ont montré que l'inégalité entre les sexes a tendance à ralentir la croissance économique et entraver la réduction de la pauvreté », souligne-t-il. A son avis, dans toute société, les hommes et les femmes, d’une manière ou d’une autre, ont tendance à jouer différents rôles sociaux- économiques, ont des responsabilités différents et peuvent avoir un accès inégal aux opportunités économiques et aux ressources pour mener des investissements.
M. Papathanasiou estime par ailleurs que les femmes et les hommes peuvent avoir des capacités différentes, des besoins, des intérêts et des priorités et peuvent apporter différentes contributions à des initiatives de développement.
« C’est pourquoi, la Banque mondiale attache une grande importance à la problématique du genre, compte tenu de son lien évident avec la lutte contre la pauvreté. Cette lutte engage des femmes et des hommes avertis et outillés pour réaliser leur bien-être », avance-t-il.
Selon lui, au niveau de la Banque mondiale, la promotion de l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes sont considérées comme une dimension intégrante et nécessaire des efforts pour réduire la pauvreté et stimuler la croissance économique.
« Promouvoir le programme de croissance inclusive de la Banque mondiale ne peut se réaliser que par l’élargissement de l'accès des femmes aux opportunités économiques et aux ressources » note encore le fonctionnaire de la Banque.
Il a ajouté que de plus en plus, les approches sensibles au genre pour le développement sont intégrées dans la planification et la mise en œuvre des projets et programmes financés par la Banque Mondiale.
El Hadj Diakhaté
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