Selon le ministère de l’Economie dans un poste sur le réseau social LinkedIn, cette année marque les 60 ans de la Bad. Cet événement, rappelle la même source, a été l’occasion de renforcer la coopération entre le Sénégal et le Groupe de la Bad, qui est l'un des partenaires les plus importants de notre pays.
«Ces Assemblées ont également été l’occasion de rencontrer les différents partenaires du Sénégal dans la dynamique de consolider notre collaboration et d’échanger sur les perspectives afin d’accompagner la prise en charge des priorités économiques du Sénégal. C’est dans ce sens que le ministre Abdourahmane Sarr a échangé avec Madame Alexia Latortue, assistante-secrétaire au département du Trésor américain, Andrew Mitchell MP, ministre d’État britannique, et Madame Dr. Bärbel Kofler, secrétaire d’État allemande. Dr Abdourahmane Sarr, PhD s’est aussi entretenu avec son homologue guinéen Ismael Nabe, ministre du Plan et de la Coopération internationale », lit-on dans la publication.
Il a également rencontré des organismes tels que Africa50 Infrastructure Investment Platform le Fonds koweïtien, l'Usaid, la European Bank for reconstruction and development (Berd), et la Banque japonaise de coopération internationale.
Par ailleurs, souligne la publication, la Bad a élaboré une stratégie décennale 2024-2033, qui vise notamment à augmenter les opérations non souveraines et à renforcer et créer des instruments nouveaux pour davantage attirer l’investissement privé en Afrique. Selon le ministre sénégalais, les bilans souverains ne pourront pas supporter tous les besoins d’investissement en Afrique.
«Aussi, la réforme de l’architecture financière internationale est importante, surtout pour situer les responsabilités des uns et des autres dans la lutte contre le changement climatique. Dr Abdourahmane Sarr s’est ainsi réjoui des convergences de vues avec le président Adesina sur l’importance de partir de la base pour bâtir le national, le régional, le continental et l’international.
Car, à l’en croire, «une architecture au sommet doit avoir des fondements solides à la base », renseigne le ministère de l’Economie.
Adou FAYE
«Ces Assemblées ont également été l’occasion de rencontrer les différents partenaires du Sénégal dans la dynamique de consolider notre collaboration et d’échanger sur les perspectives afin d’accompagner la prise en charge des priorités économiques du Sénégal. C’est dans ce sens que le ministre Abdourahmane Sarr a échangé avec Madame Alexia Latortue, assistante-secrétaire au département du Trésor américain, Andrew Mitchell MP, ministre d’État britannique, et Madame Dr. Bärbel Kofler, secrétaire d’État allemande. Dr Abdourahmane Sarr, PhD s’est aussi entretenu avec son homologue guinéen Ismael Nabe, ministre du Plan et de la Coopération internationale », lit-on dans la publication.
Il a également rencontré des organismes tels que Africa50 Infrastructure Investment Platform le Fonds koweïtien, l'Usaid, la European Bank for reconstruction and development (Berd), et la Banque japonaise de coopération internationale.
Par ailleurs, souligne la publication, la Bad a élaboré une stratégie décennale 2024-2033, qui vise notamment à augmenter les opérations non souveraines et à renforcer et créer des instruments nouveaux pour davantage attirer l’investissement privé en Afrique. Selon le ministre sénégalais, les bilans souverains ne pourront pas supporter tous les besoins d’investissement en Afrique.
«Aussi, la réforme de l’architecture financière internationale est importante, surtout pour situer les responsabilités des uns et des autres dans la lutte contre le changement climatique. Dr Abdourahmane Sarr s’est ainsi réjoui des convergences de vues avec le président Adesina sur l’importance de partir de la base pour bâtir le national, le régional, le continental et l’international.
Car, à l’en croire, «une architecture au sommet doit avoir des fondements solides à la base », renseigne le ministère de l’Economie.
Adou FAYE