Dans sa lettre de politique sectorielle de 2005, l’Etat du Sénégal avait définit son option d’impliquer le secteur privé dans la gestion des services d’eau et d’assainissement tant en milieu urbain qu’en milieu rural. L’atelier de ce jour entre dans ce sens. Il a pour but d’informer le secteur privé sur les processus en cours concernant l’hydraulique rurale et surtout de partager les informations relatives à l’appel d’offre pour la délégation du service public de l’eau en zone centre. Selon, Pape Diouf ministre de l’hydraulique et de l’assainissement « cette initiative de partenariat public privé est l’aboutissement de plusieurs d’années d’efforts du ministère en charge de l’hydraulique ». « Il tend à améliorer de manière durable au profit des populations rurales les conditions d’accès à un service d’eau potable de qualité » affirme-t-il. Ceci, à « un prix abordable particulièrement pour les populations vivant dans les zones rurales »a-t-il ajouté.
A ce titre, « l’Etat du Sénégal s’est engagé à promouvoir l’implication et la participation effectives de toutes les catégories d’acteurs concernés par le développement et la gestion des services » informe le ministre de l’hydraulique et de l’assainissement. Il renseigne que « le secteur de l’hydraulique s’est inscrit dans la dynamique de la participation du secteur privé à travers la contractualisation de la gestion et de la maintenance des forages hydrauliques ». C’est en ce sens que le ministère de l’hydraulique et de l’assainissement envisage de « lancer un appel d’offre pour la passation des contrats de délégation de services publics » portant « sur la gestion des systèmes de production d’eau potable dans les régions de Diourbel, Fatick, Kaolack, Kaffrine et Thiès » indique Pape Diouf. Et ce dernier d’informer que « les critères de qualification requises tiendront compte des petites et moyennes entreprises afin de les encourager ». Ainsi, il s’agit pour l’Etat de « léguer aux secteurs privés les dépannages et les interventions sur les ouvrages qu’il faisait » renseigne Mamadou Mbaye Directeur de l’Exploitation et de la Maintenance DEM. Cette nouvelle réforme sera « un transfert de la maintenance et de la production de l’eau des forages en milieu rural au secteur privé, pour que le prix de l’eau soit accessible aux populations » révèle M. Mbaye. Il renseigne que « le prix de l’eau est plus élevé en milieu rural qu’en milieu urbain ». Ce qui est paradoxal dans la mesure où « le pouvoir d’achat en milieu rural est faible et l’eau devait être plus accessible » estime-t-il. Ainsi, « pour assurer un meilleur service de l’eau potable aux populations, l’Etat envisage l’implication du privé » souligne le directeur du DEM.
A ce propos, le représentant du CNES Assane Diène, déclare que « le privé national s’engage à tout faire pour que le prix de l’eau soit à la portée des populations rurales ». Il soutient que « le secteur privé national avec ces compétences humaines et ses moyens va intervenir pour que le prix de l’eau ne soit pas extrêmement élevé au niveau rural ». « Le prix de l’eau doit être à la portée de tout le monde » a-t-il fait savoir. A signaler que la publication du dossier d’appel d’offres est prévue le Vendredi 29 Novembre 2013.
Amy Diallo
A ce titre, « l’Etat du Sénégal s’est engagé à promouvoir l’implication et la participation effectives de toutes les catégories d’acteurs concernés par le développement et la gestion des services » informe le ministre de l’hydraulique et de l’assainissement. Il renseigne que « le secteur de l’hydraulique s’est inscrit dans la dynamique de la participation du secteur privé à travers la contractualisation de la gestion et de la maintenance des forages hydrauliques ». C’est en ce sens que le ministère de l’hydraulique et de l’assainissement envisage de « lancer un appel d’offre pour la passation des contrats de délégation de services publics » portant « sur la gestion des systèmes de production d’eau potable dans les régions de Diourbel, Fatick, Kaolack, Kaffrine et Thiès » indique Pape Diouf. Et ce dernier d’informer que « les critères de qualification requises tiendront compte des petites et moyennes entreprises afin de les encourager ». Ainsi, il s’agit pour l’Etat de « léguer aux secteurs privés les dépannages et les interventions sur les ouvrages qu’il faisait » renseigne Mamadou Mbaye Directeur de l’Exploitation et de la Maintenance DEM. Cette nouvelle réforme sera « un transfert de la maintenance et de la production de l’eau des forages en milieu rural au secteur privé, pour que le prix de l’eau soit accessible aux populations » révèle M. Mbaye. Il renseigne que « le prix de l’eau est plus élevé en milieu rural qu’en milieu urbain ». Ce qui est paradoxal dans la mesure où « le pouvoir d’achat en milieu rural est faible et l’eau devait être plus accessible » estime-t-il. Ainsi, « pour assurer un meilleur service de l’eau potable aux populations, l’Etat envisage l’implication du privé » souligne le directeur du DEM.
A ce propos, le représentant du CNES Assane Diène, déclare que « le privé national s’engage à tout faire pour que le prix de l’eau soit à la portée des populations rurales ». Il soutient que « le secteur privé national avec ces compétences humaines et ses moyens va intervenir pour que le prix de l’eau ne soit pas extrêmement élevé au niveau rural ». « Le prix de l’eau doit être à la portée de tout le monde » a-t-il fait savoir. A signaler que la publication du dossier d’appel d’offres est prévue le Vendredi 29 Novembre 2013.
Amy Diallo