Selon un communiqué de presse, ce programme de six ans vise à répondre aux besoins prioritaires d’environ 854 000 personnes des zones rurales dont 50
pour cent de femmes et 40 pour cent de jeunes, en Mauritanie, au Mali, au Burkina Faso, au Niger, au Sénégal et au Tchad. Il contribuera à la réduction de la pauvreté et à une amélioration des moyens d’existence, ainsi qu’au renforcement des échanges commerciaux aux niveaux national et régional.
« Le Programme SD3C contribuera au renforcement des capacités institutionnelles du G5 Sahel en matière de dialogue politique et social inclusif en faveur de la paix et de la sécurité avec l’implication active des organisations sous régionales, y compris celles des producteurs professionnels », a déclaré Kouldjim Guidio, chef de département résilience au Secrétariat exécutif du G5 Sahel.
« Le Pam partage les ambitions du Sd3c, à savoir la mitigation et l’adaptation aux changements climatiques, la cohésion sociale, et la lutte contre la Covid-19 et ses impacts socioéconomiques » a déclaré Elvira Pruscini, directrice régionale adjointe du Pam pour la région d’Afrique de l’Ouest.
« Chaque jour qui passe, nous constatons la détérioration de la sécurité et de la situation humanitaire dans plusieurs zones du Sahel. Nous devons contribuer, par ce programme et en synergie avec tous les autres acteurs et initiatives, à inverser cette tendance, afin d’amener la région dans une dynamique de paix et de prospérité » a indiqué Sana Jatta, directeur de la Division Afrique de l’Ouest et du Centre du Fida.
« Toutes ces interventions corroborent bien avec le nouveau cadre stratégique de la Fao qui vise à soutenir l'Agenda 2030 par la transformation vers des systèmes agroalimentaires plus efficaces, inclusifs, résilients et durables pour une meilleure production, une meilleure nutrition, un meilleur environnement et une meilleure vie,
sans laisser personne de côté » a déclaré Yurdi Yasmi, directeur régional adjoint de la Fao pour l’Afrique.
Adou Faye
pour cent de femmes et 40 pour cent de jeunes, en Mauritanie, au Mali, au Burkina Faso, au Niger, au Sénégal et au Tchad. Il contribuera à la réduction de la pauvreté et à une amélioration des moyens d’existence, ainsi qu’au renforcement des échanges commerciaux aux niveaux national et régional.
« Le Programme SD3C contribuera au renforcement des capacités institutionnelles du G5 Sahel en matière de dialogue politique et social inclusif en faveur de la paix et de la sécurité avec l’implication active des organisations sous régionales, y compris celles des producteurs professionnels », a déclaré Kouldjim Guidio, chef de département résilience au Secrétariat exécutif du G5 Sahel.
« Le Pam partage les ambitions du Sd3c, à savoir la mitigation et l’adaptation aux changements climatiques, la cohésion sociale, et la lutte contre la Covid-19 et ses impacts socioéconomiques » a déclaré Elvira Pruscini, directrice régionale adjointe du Pam pour la région d’Afrique de l’Ouest.
« Chaque jour qui passe, nous constatons la détérioration de la sécurité et de la situation humanitaire dans plusieurs zones du Sahel. Nous devons contribuer, par ce programme et en synergie avec tous les autres acteurs et initiatives, à inverser cette tendance, afin d’amener la région dans une dynamique de paix et de prospérité » a indiqué Sana Jatta, directeur de la Division Afrique de l’Ouest et du Centre du Fida.
« Toutes ces interventions corroborent bien avec le nouveau cadre stratégique de la Fao qui vise à soutenir l'Agenda 2030 par la transformation vers des systèmes agroalimentaires plus efficaces, inclusifs, résilients et durables pour une meilleure production, une meilleure nutrition, un meilleur environnement et une meilleure vie,
sans laisser personne de côté » a déclaré Yurdi Yasmi, directeur régional adjoint de la Fao pour l’Afrique.
Adou Faye