«En effet, selon une étude conduite en 2016 par la Commission O’Neill au Royaume Uni chaque année, environ 700 000 décès sont liés à la résistance aux antimicrobiens. Cette étude projette également une mortalité annuelle de 10 millions de personnes liées à la Ram en 2050, dont 4,1 millions en Afrique, si des mesures drastiques ne sont pas prises pour lutter contre cette menace », a confié M. Guei.
Il a rappelé que la Fao avait déjà développé et mis en œuvre, un Plan d’actions contre la résistance aux antimicrobiens pour la période 2015-2020, axé sur la sensibilisation au problème de la Ram et aux menaces connexes ; le renforcement des capacités de surveillance et de suivi de la résistance aux antimicrobiens et de l’utilisation des antimicrobiens dans le secteur de l’alimentation et de l’agriculture; le renforcement de la gouvernance relative à l’utilisation des antimicrobiens et à la résistance aux antimicrobiens dans le secteur de l’alimentation et de l’agriculture et la promotion de bonnes pratiques au sein des systèmes alimentaires et agricoles ainsi qu’une utilisation prudente des agents antimicrobiens.
Selon Dr Gouantoueu Robert Guei, ce premier Plan d’action de la Fao soutenant le Plan d’action mondial pour combattre la résistance aux antimicrobiens, avait souligné l’impérieuse nécessité d’adopter l’approche « Une Seule Santé », pour juguler cette menace.
«Au terme de ce premier plan, un second plan quinquennal vient d’être publié pour la période 2021-2025, centré sur l’innovation et la recherche pour améliorer la résilience des secteurs de l’alimentation et de l’agriculture ainsi que les moyens d’existence et des économies qui en dépendent face aux conséquences de la Ram. Ce nouveau plan axé sur cinq domaines prioritaires permettra de produire des données factuelles, afin de motiver avec efficacité et cohérence les décisions et les actions dans le combat contre cette menace aux allures de pandémie », a confié le représentant de la Fao.
Adou FAYE
Il a rappelé que la Fao avait déjà développé et mis en œuvre, un Plan d’actions contre la résistance aux antimicrobiens pour la période 2015-2020, axé sur la sensibilisation au problème de la Ram et aux menaces connexes ; le renforcement des capacités de surveillance et de suivi de la résistance aux antimicrobiens et de l’utilisation des antimicrobiens dans le secteur de l’alimentation et de l’agriculture; le renforcement de la gouvernance relative à l’utilisation des antimicrobiens et à la résistance aux antimicrobiens dans le secteur de l’alimentation et de l’agriculture et la promotion de bonnes pratiques au sein des systèmes alimentaires et agricoles ainsi qu’une utilisation prudente des agents antimicrobiens.
Selon Dr Gouantoueu Robert Guei, ce premier Plan d’action de la Fao soutenant le Plan d’action mondial pour combattre la résistance aux antimicrobiens, avait souligné l’impérieuse nécessité d’adopter l’approche « Une Seule Santé », pour juguler cette menace.
«Au terme de ce premier plan, un second plan quinquennal vient d’être publié pour la période 2021-2025, centré sur l’innovation et la recherche pour améliorer la résilience des secteurs de l’alimentation et de l’agriculture ainsi que les moyens d’existence et des économies qui en dépendent face aux conséquences de la Ram. Ce nouveau plan axé sur cinq domaines prioritaires permettra de produire des données factuelles, afin de motiver avec efficacité et cohérence les décisions et les actions dans le combat contre cette menace aux allures de pandémie », a confié le représentant de la Fao.
Adou FAYE