«Ces dernières années, la résilience urbaine a été mise à rude épreuve par une variété de catastrophes», a déclaré le Représentant spécial du Secrétaire général pour la prévention des risques de catastrophes, Robert Glasser.
Il a rappelé que l'un des principaux objectifs du Cadre de Sendai est d'augmenter le nombre de pays ayant mis en place des stratégies nationales et locales de réduction de risques de catastrophes d'ici 2020. Un objectif dans un temps très court qui requiert un appui particulier aux niveaux national et local, plus particulièrement au niveau des municipalités.
«Les villes servent de moteur économique mais sont également les foyers de populations pauvres et vulnérables», a également prévenu Glasser soulignant que la réduction des risques de catastrophes passe par une réduction de la pauvreté.
Rappelant la campagne du Bureau des Nations Unies pour la réduction des risques de catastrophes (UNISDR) en faveur de villes plus résilientes, Glasser a indiqué que sur les 30.400 municipalités qui se sont engagées dans des actions pour rendre la vie urbaine plus sûre, la moitié d'entre elles sont situées dans les Amériques.
Le chef de l'UNISDR a exhorté les villes à agir vite à travers la mise à disposition et le partage de données de qualité, la construction de bâtiments plus surs, le renforcement des capacités des petites municipalités face aux catastrophes, le financement de la résilience et l'évaluation des risques. M. Glasser a également souligné la nécessité de clarifier la responsabilité des gouvernements locaux et nationaux en ce qui concerne les risques de catastrophes.
«Les communautés de toutes tailles sont sur le front des catastrophes et peuvent être touchées», a pour sa part déclaré le Président de la Fédération des municipalités canadiennes, Clark Sommerville, rappelant que les villes du Canada sont confrontées à des catastrophes telles que des tempêtes de neiges, des incendies de forêts et des inondations.
Pathé TOURE
Il a rappelé que l'un des principaux objectifs du Cadre de Sendai est d'augmenter le nombre de pays ayant mis en place des stratégies nationales et locales de réduction de risques de catastrophes d'ici 2020. Un objectif dans un temps très court qui requiert un appui particulier aux niveaux national et local, plus particulièrement au niveau des municipalités.
«Les villes servent de moteur économique mais sont également les foyers de populations pauvres et vulnérables», a également prévenu Glasser soulignant que la réduction des risques de catastrophes passe par une réduction de la pauvreté.
Rappelant la campagne du Bureau des Nations Unies pour la réduction des risques de catastrophes (UNISDR) en faveur de villes plus résilientes, Glasser a indiqué que sur les 30.400 municipalités qui se sont engagées dans des actions pour rendre la vie urbaine plus sûre, la moitié d'entre elles sont situées dans les Amériques.
Le chef de l'UNISDR a exhorté les villes à agir vite à travers la mise à disposition et le partage de données de qualité, la construction de bâtiments plus surs, le renforcement des capacités des petites municipalités face aux catastrophes, le financement de la résilience et l'évaluation des risques. M. Glasser a également souligné la nécessité de clarifier la responsabilité des gouvernements locaux et nationaux en ce qui concerne les risques de catastrophes.
«Les communautés de toutes tailles sont sur le front des catastrophes et peuvent être touchées», a pour sa part déclaré le Président de la Fédération des municipalités canadiennes, Clark Sommerville, rappelant que les villes du Canada sont confrontées à des catastrophes telles que des tempêtes de neiges, des incendies de forêts et des inondations.
Pathé TOURE