‘’A la fin de nos travaux nous sommes arrivés à adopter un plan d’actions opérationnel qui a identifié pour chaque zone humide, les actions à mener pour sa conservation, les acteurs qui seront chargés de la mise en œuvre et les lieux d’intervention’’, a indiqué à l’APS Papa Mawade Wade.
M. Wade, coordonnateur régional des programmes de l’ONG ‘’Wetlands International’’ (Terres humides) basée aux Pays-Bas, s’exprimait à la fin de cette rencontre de deux jours qui a permis aux participants de réfléchir sur les modalités d’adoption d’un plan quinquennal de gestion de la zone éco-géographique du Ferlo.
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’L’atelier a concerné les régions administratives de Louga, de Diourbel et une partie de Matam à travers le département de Ranérou Ferlo. Les participants ont été regroupés en deux grands groupes qui ont pu identifier les principales zones humides de ces localités’’, a-t-il souligné.
Il a ainsi fait état de l’élaboration prochaine pour chacune des zones éco-géographique identifiées d’un d’action zonale qui sera un document opérationnel qui permettra d’identifier les différentes zones humides, de voir l’état de conservation et de dégradation de chaque zone humide, ensuite identifier les contraintes et proposer des solutions.
‘’Cette concertation entre dans le cadre du processus d’élaboration de la politique nationale de gestion des zones humides du Sénégal. L’honneur revient à la région de Louga d’abriter la phase test de l’approche méthodologique de territorialisation des politiques publiques’’, a déclaré mercredi à la presse, le commandant Abdou Salam kane, point focal national du projet.
‘’Il est question, dans le cadre de ce processus, d’arriver à deux voire trois résultats au niveau de chaque zone éco-géographique, la zone éco-géographique du Ferlo concerne la région de Louga, celle de Diourbel et le département de Ranérou qui dépend de Matam’’, a indiqué le commandant Kane.
Selon lui, le résultat attendu de ce processus porte sur l’adoption d’un plan d’action quinquennal au niveau de chaque zone éco-géographique, et l’approfondissement des éléments de caractérisation des zones éco-géographiques.
‘’Il s’agit notamment des types de zones humides, leur vocation et utilisations, les contraintes et les solutions que les acteurs eux-mêmes vont proposer. Il nous reviendra de les traduire en actions concrètes suivant les orientations politiques du gouvernent’’, a souligné M. Kane.
APS
M. Wade, coordonnateur régional des programmes de l’ONG ‘’Wetlands International’’ (Terres humides) basée aux Pays-Bas, s’exprimait à la fin de cette rencontre de deux jours qui a permis aux participants de réfléchir sur les modalités d’adoption d’un plan quinquennal de gestion de la zone éco-géographique du Ferlo.
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’L’atelier a concerné les régions administratives de Louga, de Diourbel et une partie de Matam à travers le département de Ranérou Ferlo. Les participants ont été regroupés en deux grands groupes qui ont pu identifier les principales zones humides de ces localités’’, a-t-il souligné.
Il a ainsi fait état de l’élaboration prochaine pour chacune des zones éco-géographique identifiées d’un d’action zonale qui sera un document opérationnel qui permettra d’identifier les différentes zones humides, de voir l’état de conservation et de dégradation de chaque zone humide, ensuite identifier les contraintes et proposer des solutions.
‘’Cette concertation entre dans le cadre du processus d’élaboration de la politique nationale de gestion des zones humides du Sénégal. L’honneur revient à la région de Louga d’abriter la phase test de l’approche méthodologique de territorialisation des politiques publiques’’, a déclaré mercredi à la presse, le commandant Abdou Salam kane, point focal national du projet.
‘’Il est question, dans le cadre de ce processus, d’arriver à deux voire trois résultats au niveau de chaque zone éco-géographique, la zone éco-géographique du Ferlo concerne la région de Louga, celle de Diourbel et le département de Ranérou qui dépend de Matam’’, a indiqué le commandant Kane.
Selon lui, le résultat attendu de ce processus porte sur l’adoption d’un plan d’action quinquennal au niveau de chaque zone éco-géographique, et l’approfondissement des éléments de caractérisation des zones éco-géographiques.
‘’Il s’agit notamment des types de zones humides, leur vocation et utilisations, les contraintes et les solutions que les acteurs eux-mêmes vont proposer. Il nous reviendra de les traduire en actions concrètes suivant les orientations politiques du gouvernent’’, a souligné M. Kane.
APS