S’il ya quelqu’un qui se félicite du retour du Plan au ministère de l’Economie et des Finances, c’est bien Amadou Bâ, l’argentier de l’Etat. Ce dernier, qui garde son poste de ministre de l’Economie et des Finances dans le nouveau gouvernement dirigé par Mahammed Boun Abdallah Dionne, sera désormais en charge du Plan.
Hier, à l’occasion de la signature d’un accord de financement de 8 milliards de francs Cfa pour l’établissement d’un Centre africain d’excellence (Cae), il a indiqué que, le président de la République, en ramenant ce département au ministère de l’Economie et des Finances, a manifesté sa volonté de rendre les politiques économiques plus cohérentes. Toujours, selon le ministre, le chef de l’Etat veut rappeler l’importance de la planification dans la formulation et le suivi des politiques publiques, conformément à sa vision d’un Sénégal émergent telle que déclinée dans le Plan Sénégal Emergent (Pse). Rattaché au ministère de l’Economie et des Finances après la dissolution du premier gouvernement de Macky Sall (avril 2004 à novembre 2006), alors Premier ministre de Wade, le ministère du Plan a été érigé en ministère plein dans le premier gouvernement de Aminata Touré, avec à sa tête Abdoulaye Baldé. D’ailleurs, justifiant à l’époque la décision d’ériger le Plan en ministère plein, le Directeur de cabinet du président de la République, Abdoul Aziz Tall, disait que c’était pour l’orientation des politiques de développement. Mais la suite n’a pas trop donné grand-chose même si certains l’ont toujours souhaité, à l’image d’El Hadj Ibrahima Sall qui fut ministre du Plan sous le régime socialiste de 1998 à 2000. C’est en 1990 que le Plan intégrait pour la première fois le ministère de l’Economie et des Finances.
La vision des autorités d’alors était de l’économie du développement avec une bonne planification de l’économie et des finances, afin de mieux tirer les ressources pour un financement adéquat du développement économique et social du pays. Elles cherchaient également à assurer une meilleure mise en œuvre et un meilleur suivi de l’investissement public. C’est en cette même année 1990 qu’est née la direction de la prévision et de la statistique, d’une fusion entre la direction de la statistique et la direction de la prévision et de la conjoncture, et ce, afin d’assurer une fiabilité du Système national d’informations socio-économiques qui actuellement voguent sous les noms de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd) et direction de la prévision et des études économiques (Dpee).
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Hier, à l’occasion de la signature d’un accord de financement de 8 milliards de francs Cfa pour l’établissement d’un Centre africain d’excellence (Cae), il a indiqué que, le président de la République, en ramenant ce département au ministère de l’Economie et des Finances, a manifesté sa volonté de rendre les politiques économiques plus cohérentes. Toujours, selon le ministre, le chef de l’Etat veut rappeler l’importance de la planification dans la formulation et le suivi des politiques publiques, conformément à sa vision d’un Sénégal émergent telle que déclinée dans le Plan Sénégal Emergent (Pse). Rattaché au ministère de l’Economie et des Finances après la dissolution du premier gouvernement de Macky Sall (avril 2004 à novembre 2006), alors Premier ministre de Wade, le ministère du Plan a été érigé en ministère plein dans le premier gouvernement de Aminata Touré, avec à sa tête Abdoulaye Baldé. D’ailleurs, justifiant à l’époque la décision d’ériger le Plan en ministère plein, le Directeur de cabinet du président de la République, Abdoul Aziz Tall, disait que c’était pour l’orientation des politiques de développement. Mais la suite n’a pas trop donné grand-chose même si certains l’ont toujours souhaité, à l’image d’El Hadj Ibrahima Sall qui fut ministre du Plan sous le régime socialiste de 1998 à 2000. C’est en 1990 que le Plan intégrait pour la première fois le ministère de l’Economie et des Finances.
La vision des autorités d’alors était de l’économie du développement avec une bonne planification de l’économie et des finances, afin de mieux tirer les ressources pour un financement adéquat du développement économique et social du pays. Elles cherchaient également à assurer une meilleure mise en œuvre et un meilleur suivi de l’investissement public. C’est en cette même année 1990 qu’est née la direction de la prévision et de la statistique, d’une fusion entre la direction de la statistique et la direction de la prévision et de la conjoncture, et ce, afin d’assurer une fiabilité du Système national d’informations socio-économiques qui actuellement voguent sous les noms de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd) et direction de la prévision et des études économiques (Dpee).
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