chroniques
‘’Le premier obstacle est culturel. Nous sommes dans un pays analphabète, dominé par une population musulmane alors qu’assurance et profit ne riment pas toujours avec la religion’’, a-t-il expliqué.
Selon lui, bien des gens ne souhaitent pas s’assurer pour des raisons religieuses, surtout dans le domaine de l’assurance vie.
‘’Il y a d’autres écueils liés au pouvoir d’achat. Les ménages n’ayant pas toujours les moyens de s’assurer. Nous vivons dans un pays où nous n’avons que l’automobile qui est perçue comme une taxe que les gens paient malgré eux. Il y a aussi l’assurance des importations’’, a-t-il relevé.
En dehors de ces deux branches, c’est la liberté, a-t-il fait observer, indiquant que "ce sont des entreprises et des particuliers rares qui en ont les moyens qui optent pour couvrir leur patrimoine, leurs activités en souscrivant à une police assurance dommage''.
''Aujourd’hui, vu la configuration du tissu industriel sénégalais, la désuétude des installations, les difficultés que rencontre ce secteur ne permettent pas à certaines entreprises de payer une assurance’’, a indiqué le directeur de Axa Sénégal.
Il estime que les entreprises ont parfois des difficultés à asseoir une politique de prévention, d’entretien et de sécurisation de leurs installations.
‘’Ce qui fait que celles-ci tombent dans la désuétude, et cela ne favorise pas leur accès à une police d’assurance’’, a-t-il affirmé.
APS
Selon lui, bien des gens ne souhaitent pas s’assurer pour des raisons religieuses, surtout dans le domaine de l’assurance vie.
‘’Il y a d’autres écueils liés au pouvoir d’achat. Les ménages n’ayant pas toujours les moyens de s’assurer. Nous vivons dans un pays où nous n’avons que l’automobile qui est perçue comme une taxe que les gens paient malgré eux. Il y a aussi l’assurance des importations’’, a-t-il relevé.
En dehors de ces deux branches, c’est la liberté, a-t-il fait observer, indiquant que "ce sont des entreprises et des particuliers rares qui en ont les moyens qui optent pour couvrir leur patrimoine, leurs activités en souscrivant à une police assurance dommage''.
''Aujourd’hui, vu la configuration du tissu industriel sénégalais, la désuétude des installations, les difficultés que rencontre ce secteur ne permettent pas à certaines entreprises de payer une assurance’’, a indiqué le directeur de Axa Sénégal.
Il estime que les entreprises ont parfois des difficultés à asseoir une politique de prévention, d’entretien et de sécurisation de leurs installations.
‘’Ce qui fait que celles-ci tombent dans la désuétude, et cela ne favorise pas leur accès à une police d’assurance’’, a-t-il affirmé.
APS
Accueil
Envoyer à un ami
Version imprimable
Partager
