« Le financement par emprunt notamment auprès de banques reste la principale source de financement externe des entreprises, notamment des PME. Malgré la diversification de l’offre de financement due à la présence de 22 établissements de crédits et une multitude d’institutions de micro finance » a expliqué M.Seck.
M.Seck se prononçait lors d’une réunion d’information sur le programme d’Education Financier des PME. « Les PME contribuent à hauteur de 30% du PIB et emploient environ 60% de la population active soit 42% du total des emplois du secteur moderne. Elles sont constituées en majorité d’entreprises artisanales ou commerciales de tailles et de formes juridiques variables » a informé M.Seck.
« Le manque de transparence du système d’information des PME et surtout des activités informelles notamment l’absence d’état financiers fiables et de procédures de monitoring et de reporting éprouvées, est souvent déploré comme étant la source d’incompréhension entre les entreprises et les institutions financières » a –t-il ajouté.
« La difficulté de présenter des garanties acceptables par les institutions financière, la faiblesse du niveau de capitalisation des PME et le défaut de formalisation constituent ainsi des entraves à lever sur le chemin de l’émergence », poursuit M.SecK.
« La levée des contraintes liées à l’accès au financement et subséquemment l’établissement de relations ordonnées avec les institutions de financement, renvoie également à un besoin de renforcement des capacités des PME, en particulier dans le domaine de la gestion comptable et financier » a suggéré le président du conseil d’orientation du (OQSF) ».
Ndeye Maguette Kébé
M.Seck se prononçait lors d’une réunion d’information sur le programme d’Education Financier des PME. « Les PME contribuent à hauteur de 30% du PIB et emploient environ 60% de la population active soit 42% du total des emplois du secteur moderne. Elles sont constituées en majorité d’entreprises artisanales ou commerciales de tailles et de formes juridiques variables » a informé M.Seck.
« Le manque de transparence du système d’information des PME et surtout des activités informelles notamment l’absence d’état financiers fiables et de procédures de monitoring et de reporting éprouvées, est souvent déploré comme étant la source d’incompréhension entre les entreprises et les institutions financières » a –t-il ajouté.
« La difficulté de présenter des garanties acceptables par les institutions financière, la faiblesse du niveau de capitalisation des PME et le défaut de formalisation constituent ainsi des entraves à lever sur le chemin de l’émergence », poursuit M.SecK.
« La levée des contraintes liées à l’accès au financement et subséquemment l’établissement de relations ordonnées avec les institutions de financement, renvoie également à un besoin de renforcement des capacités des PME, en particulier dans le domaine de la gestion comptable et financier » a suggéré le président du conseil d’orientation du (OQSF) ».
Ndeye Maguette Kébé