L’étude révèle que «l’option en direction des politiques sociales en cours réhabilite les solidarités verticales en replaçant l’Etat dans sa fonction de protecteur des groupes vulnérables ».
Cette étude a été réalisée par le Laboratoire de Recherche sur les Transformations Economiques et Sociales (LARTES) en collaboration avec l’Unicef et le ministère du plan.
Les conclusions de cette recherche montrent que « les chocs constituent le facteur majeur de basculement dans la pauvreté. De plus, le fait de subir un choc à l’enfance augmente les chances d’être pauvre par rapport à ceux qui en n’ont subis aucun ».
Si l’on compare les générations, il apparait que toutes les générations à l’exception de la plus jeune, c’est près de la moitié de la population qui vit en situation de pauvreté chronique quelque soit la période de la vie considérée.
Les générations les plus jeunes restent à leur tour exposées davantage à la pauvreté transitoire qu’a la pauvreté chronique comme on peut l’observer chez les générations les plus anciennes.
Les couches les plus pauvres et vulnérables résistent beaucoup moins à ces chocs que les autres. Face à cette situation , elles initient des stratégies de survie impliquant l’endettement , la vente de biens ou la suppression de l’éducation des enfants qui ont pour effet de renforcer leur vulnérabilité face à des chocs futurs .
Ndeye Maguette Kébé
Cette étude a été réalisée par le Laboratoire de Recherche sur les Transformations Economiques et Sociales (LARTES) en collaboration avec l’Unicef et le ministère du plan.
Les conclusions de cette recherche montrent que « les chocs constituent le facteur majeur de basculement dans la pauvreté. De plus, le fait de subir un choc à l’enfance augmente les chances d’être pauvre par rapport à ceux qui en n’ont subis aucun ».
Si l’on compare les générations, il apparait que toutes les générations à l’exception de la plus jeune, c’est près de la moitié de la population qui vit en situation de pauvreté chronique quelque soit la période de la vie considérée.
Les générations les plus jeunes restent à leur tour exposées davantage à la pauvreté transitoire qu’a la pauvreté chronique comme on peut l’observer chez les générations les plus anciennes.
Les couches les plus pauvres et vulnérables résistent beaucoup moins à ces chocs que les autres. Face à cette situation , elles initient des stratégies de survie impliquant l’endettement , la vente de biens ou la suppression de l’éducation des enfants qui ont pour effet de renforcer leur vulnérabilité face à des chocs futurs .
Ndeye Maguette Kébé