Anacardes(noix de cajou) de la Casamance
Au SIA, le PADEC, qui collabore avec des producteurs regroupés en groupements d'intérêt économique (GIE) ou en coopératives, expose une gamme de produits en provenance des régions de Ziguinchor, Kolda et Sédhiou (Sud).
Au SIA, ces produits sont exposés au stand du ministère sénégalais de l’Environnement et du Développement durable.
"Le programme (PADEC) prend en compte les filières collecte, transformation et commercialisation des produits", a souligné M. Mbaye.
La région de Ziguinchor est une zone par excellence de production de fruits, dont la mangue, a-t-il rappelé, précisant que Kolda et Sédhiou ont pour spécialité la production de miel et d'anacarde.
"Le miel et l’anacarde sont les filières les mieux élaborées. Des pas importants ont été franchis pour percer le marché de l’exportation", a souligné Cheikh Tidiane Mbaye.
Il annonce qu'un homme d’affaires marocain rencontré au SIA s'apprête à commander 50 kilogrammes de miel par mois, auprès du PADEC.
"Un autre homme d’affaires m’a demandé une offre de prix. Je lui ai fait des propositions. J'attends maintenant sa réponse", a-t-il ajouté.
Au SIA, le conseiller du PADEC doit aussi avoir une séance de travail avec des responsables du ministère marocain de l’Agriculture.
Le programme a été lancé en 2011, dans le but de contribuer au développement économique de la Casamance. Le coût de sa mise en œuvre est de neuf milliards de francs CFA. Il est financé par les gouvernements canadien et sénégalais.
Le PADEC a pour objectif, selon ses promoteurs, de contribuer à la réduction de 50% de la pauvreté des ménages sénégalais, à l'horizon 2015, en conformité avec les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) définis par les Nations unies.
Il a pour but de contribuer au développement et à la mise en valeur du potentiel agricole et agro-alimentaire de la Casamance, par les petits producteurs et productrices, grâce au soutien de l'agriculture locale par le Canada et le Sénégal.
APS
Au SIA, ces produits sont exposés au stand du ministère sénégalais de l’Environnement et du Développement durable.
"Le programme (PADEC) prend en compte les filières collecte, transformation et commercialisation des produits", a souligné M. Mbaye.
La région de Ziguinchor est une zone par excellence de production de fruits, dont la mangue, a-t-il rappelé, précisant que Kolda et Sédhiou ont pour spécialité la production de miel et d'anacarde.
"Le miel et l’anacarde sont les filières les mieux élaborées. Des pas importants ont été franchis pour percer le marché de l’exportation", a souligné Cheikh Tidiane Mbaye.
Il annonce qu'un homme d’affaires marocain rencontré au SIA s'apprête à commander 50 kilogrammes de miel par mois, auprès du PADEC.
"Un autre homme d’affaires m’a demandé une offre de prix. Je lui ai fait des propositions. J'attends maintenant sa réponse", a-t-il ajouté.
Au SIA, le conseiller du PADEC doit aussi avoir une séance de travail avec des responsables du ministère marocain de l’Agriculture.
Le programme a été lancé en 2011, dans le but de contribuer au développement économique de la Casamance. Le coût de sa mise en œuvre est de neuf milliards de francs CFA. Il est financé par les gouvernements canadien et sénégalais.
Le PADEC a pour objectif, selon ses promoteurs, de contribuer à la réduction de 50% de la pauvreté des ménages sénégalais, à l'horizon 2015, en conformité avec les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) définis par les Nations unies.
Il a pour but de contribuer au développement et à la mise en valeur du potentiel agricole et agro-alimentaire de la Casamance, par les petits producteurs et productrices, grâce au soutien de l'agriculture locale par le Canada et le Sénégal.
APS