M. Takashi Kitahara ambassadeur du Japon au Sénégal et Amadou Bâ ministre de l’économie, des finances et du Plan
La cérémonie d’’échange de notes et de l’accord de don a eu lieu entre Amadou Bâ ministre de l’économie, des finances et du Plan et M. Takashi Kitahara ambassadeur du Japon au Sénégal.
Selon le ministre, le financement vient appuyer les efforts du Gouvernement qui, dans le cadre de sa politique de santé et en vue de relever les défis du millénaire pour le développement, a mis en place un Plan National de Développement Sanitaire (PNDS 2009-2018) dont l’objectif principal est d’assurer aux populations sénégalaises, l’accès à des soins de santé de qualité tout en mettant l'accent sur les groupes vulnérables tels que la mère et l’enfant. « Malgré les efforts consentis par son gouvernement dans la première phase de mise en œuvre du PNDS, les taux de mortalité maternelle avec 392 décès sur 100.000 naissances vivantes et de mortalité infanto-juvénile évalué à 72 décès pour 1000 naissances vivantes, sont restés élevés », affirme M. Bâ.
Selon lui, cette situation est la résultante des difficultés d’accès aux soins et aux médicaments, du temps mis par les femmes enceintes pour accéder à une structure de soins, de la faiblesse du plateau technique et du déficit en personnel des structures existantes.
C’est selon lui, pour prendre en charge ces préoccupations, que le gouvernement du Sénégal a déployé des efforts considérables, dans le renforcement du système de santé en relevant les plateaux techniques des structures de référence, en développant les systèmes de référence et de contre référence, et en mettant surtout l’accent sur une facilitation de l’accès aux soins de santé primaires pour tous.
« La santé est l'un des six secteurs prioritaires du Plan Sénégal Emergent (PSE) en termes de volume de financement et le budget d'investissement sur ressources internes de la Santé est passé de 17 milliards FCFA en 2011 à 33 milliards FCFA en 2014 ».
Et plus spécifiquement, ajoute le ministre, le Gouvernement a inscrit 46 milliards de FCFA, dans le Plan Triennal d'Investissements Publics (PTIP) en vue de réduire la mortalité infantile et 88 milliards pour améliorer la santé maternelle.
Ismaila Ba
Selon le ministre, le financement vient appuyer les efforts du Gouvernement qui, dans le cadre de sa politique de santé et en vue de relever les défis du millénaire pour le développement, a mis en place un Plan National de Développement Sanitaire (PNDS 2009-2018) dont l’objectif principal est d’assurer aux populations sénégalaises, l’accès à des soins de santé de qualité tout en mettant l'accent sur les groupes vulnérables tels que la mère et l’enfant. « Malgré les efforts consentis par son gouvernement dans la première phase de mise en œuvre du PNDS, les taux de mortalité maternelle avec 392 décès sur 100.000 naissances vivantes et de mortalité infanto-juvénile évalué à 72 décès pour 1000 naissances vivantes, sont restés élevés », affirme M. Bâ.
Selon lui, cette situation est la résultante des difficultés d’accès aux soins et aux médicaments, du temps mis par les femmes enceintes pour accéder à une structure de soins, de la faiblesse du plateau technique et du déficit en personnel des structures existantes.
C’est selon lui, pour prendre en charge ces préoccupations, que le gouvernement du Sénégal a déployé des efforts considérables, dans le renforcement du système de santé en relevant les plateaux techniques des structures de référence, en développant les systèmes de référence et de contre référence, et en mettant surtout l’accent sur une facilitation de l’accès aux soins de santé primaires pour tous.
« La santé est l'un des six secteurs prioritaires du Plan Sénégal Emergent (PSE) en termes de volume de financement et le budget d'investissement sur ressources internes de la Santé est passé de 17 milliards FCFA en 2011 à 33 milliards FCFA en 2014 ».
Et plus spécifiquement, ajoute le ministre, le Gouvernement a inscrit 46 milliards de FCFA, dans le Plan Triennal d'Investissements Publics (PTIP) en vue de réduire la mortalité infantile et 88 milliards pour améliorer la santé maternelle.
Ismaila Ba