«En effet, un peu plus de 7 employés sur 10 dans le secteur moderne sont des permanents. Par ailleurs, suivant le type d’activité, il est noté une prédominance de l’emploi permanent dans la totalité des branches d’activités étudiées. Il convient tout de même de noter un recours assez important à des saisonniers dans les activités de l’enseignement (47,1%), de soutien de bureau (37,9%), de fabrication (37,2%) et des industries extractives (35,1%) », révèle l’Ansd.
Selon la même source, la répartition du nombre d’employés permanents suivant la catégorie socioprofessionnelle, au quatrième trimestre 2021, laisse apparaitre une prédominance des ouvriers (51,1%) dans le secteur moderne hors administration publique. Ils sont suivis des techniciens, agents de maitrise et ouvriers qualifiés qui représentent 32,0% des permanents. Les techniciens supérieurs et cadres moyens ainsi que les cadres supérieurs sont les moins représentés avec des proportions respectives de 9,7% et de 7,2%.
L’analyse suivant le secteur d’activité montre également une prépondérance des ouvriers dans tous les sous-secteurs de l’industrie hormis ceux de « l’électricité et gaz » et de « l’eau », où il est noté une prédominance des « techniciens, agents de maîtrise et ouvriers qualifiés » avec des proportions respectives de 60,9% et 48,3%. Par ailleurs, plus de sept employés sur dix, dans la construction (71,7%), sont des ouvriers. De même, dans le secteur du commerce, 47,3% des permanents sont de cette catégorie socioprofessionnelle au quatrième trimestre 2021. Dans les services, il est noté une certaine hétérogénéité suivant le sous-secteur.
En effet, l’effectif des ouvriers est plus important dans l’hébergement et la restauration (79,5%), les activités des services de soutien et de bureau (79,4%), les activités artistiques, sportives et récréatives (62,7%), les activités immobilières (54,5%), les activités spécialisées, scientifiques et techniques (37,7%), ainsi que les activités pour la santé humaine et l’action sociale (43,6%), tandis que, les techniciens, agents de maîtrise et ouvriers qualifiés sont les plus représentés dans les activités financières et d’assurance (62,6%), du transport et de l’entreposage (40,1%), de l’enseignement (38,0%) ainsi que de l’information et de la communication (31,4%).
Adou FAYE
Selon la même source, la répartition du nombre d’employés permanents suivant la catégorie socioprofessionnelle, au quatrième trimestre 2021, laisse apparaitre une prédominance des ouvriers (51,1%) dans le secteur moderne hors administration publique. Ils sont suivis des techniciens, agents de maitrise et ouvriers qualifiés qui représentent 32,0% des permanents. Les techniciens supérieurs et cadres moyens ainsi que les cadres supérieurs sont les moins représentés avec des proportions respectives de 9,7% et de 7,2%.
L’analyse suivant le secteur d’activité montre également une prépondérance des ouvriers dans tous les sous-secteurs de l’industrie hormis ceux de « l’électricité et gaz » et de « l’eau », où il est noté une prédominance des « techniciens, agents de maîtrise et ouvriers qualifiés » avec des proportions respectives de 60,9% et 48,3%. Par ailleurs, plus de sept employés sur dix, dans la construction (71,7%), sont des ouvriers. De même, dans le secteur du commerce, 47,3% des permanents sont de cette catégorie socioprofessionnelle au quatrième trimestre 2021. Dans les services, il est noté une certaine hétérogénéité suivant le sous-secteur.
En effet, l’effectif des ouvriers est plus important dans l’hébergement et la restauration (79,5%), les activités des services de soutien et de bureau (79,4%), les activités artistiques, sportives et récréatives (62,7%), les activités immobilières (54,5%), les activités spécialisées, scientifiques et techniques (37,7%), ainsi que les activités pour la santé humaine et l’action sociale (43,6%), tandis que, les techniciens, agents de maîtrise et ouvriers qualifiés sont les plus représentés dans les activités financières et d’assurance (62,6%), du transport et de l’entreposage (40,1%), de l’enseignement (38,0%) ainsi que de l’information et de la communication (31,4%).
Adou FAYE