« Le besoin de financement total du PSE est évalué à un montant de 10.287,6 milliards FCFA. Nous recherchons un financement additionnel de 2.964 milliards FCFA dont 1853 milliards FCFA auprès des PTF et 1111 milliards du secteur privé », a soutenu le ministre à l’endroit des PTF.
Cadre intégrateur de toutes les politiques publique en matière de développement économiques et sociales, le PSE est subdivisé en trois piliers stratégiques : transformation structurelle de l’économie et croissance ; capital humain, protection sociale et développement durable ; et gouvernance, institution, paix et sécurité. Selon le ministre, ce plan est adossé à une matrice de réformes sectorielles dont l’objectif est de placer le secteur privé au cœur du processus de création de richesses et d’emplois.
Abordant la séquence temporelle du PSE, le ministre avance que la période 2014-2018 va constituer la phase de décollage économique. Ensuite, le PSE amorcera la dynamique d’émergence à l’horizon 2023 avant d’impulser le pays vers l’expansion économique avant 2035. « Avec la nouvelle impulsion déclinée dans le PSE, l’objectif d’un taux de croissance annuel moyen de 7à 8% est à notre portée sur la période 2014-2018 », a déclaré M. Bâ. Selon lui, les projets structurants et les réformes clés permettront de stimuler l’investissement privé national et étranger, diversifier les moteurs de la croissance et renforcer la résilience de l’économie. De plus, poursuit le ministre, le déficit budgétaire devrait poursuivre sa tendance baissière en passant de 5,6% en 2013 à 5,2% en 2014, avant d’atteindre 3,9% en 2018 à la faveur de l’accélération de la croissance et de la rationalisation des dépenses publiques. A long terme, soutient-il, ce déficit ne devrait pas dépasser les 3% du produit intérieur brut (PIB) .
« En somme, avance M. Bâ à l’endroit des PTF, à l’horizon 2020, la société sénégalaise devrait être caractérisée par une réduction sensible de la grande pauvreté et une population instruite, bien formée, bénéficiant des fruits de la croissance sur l’ensemble du territoire ». Pour ce faire, le plan d’action prioritaire 2014-2018, a privilégié l’accélération de la productivité et le renforcement de la production. Ce plan va ainsi mettre l’accent sur un certain nombre de domaines comme les infrastructures et les services de transports, le tourisme, les infrastructures et les services d’énergie, l’agriculture au sens large ou encore l’industrie, les mines et carrières.
El Hadj Diakhaté
Cadre intégrateur de toutes les politiques publique en matière de développement économiques et sociales, le PSE est subdivisé en trois piliers stratégiques : transformation structurelle de l’économie et croissance ; capital humain, protection sociale et développement durable ; et gouvernance, institution, paix et sécurité. Selon le ministre, ce plan est adossé à une matrice de réformes sectorielles dont l’objectif est de placer le secteur privé au cœur du processus de création de richesses et d’emplois.
Abordant la séquence temporelle du PSE, le ministre avance que la période 2014-2018 va constituer la phase de décollage économique. Ensuite, le PSE amorcera la dynamique d’émergence à l’horizon 2023 avant d’impulser le pays vers l’expansion économique avant 2035. « Avec la nouvelle impulsion déclinée dans le PSE, l’objectif d’un taux de croissance annuel moyen de 7à 8% est à notre portée sur la période 2014-2018 », a déclaré M. Bâ. Selon lui, les projets structurants et les réformes clés permettront de stimuler l’investissement privé national et étranger, diversifier les moteurs de la croissance et renforcer la résilience de l’économie. De plus, poursuit le ministre, le déficit budgétaire devrait poursuivre sa tendance baissière en passant de 5,6% en 2013 à 5,2% en 2014, avant d’atteindre 3,9% en 2018 à la faveur de l’accélération de la croissance et de la rationalisation des dépenses publiques. A long terme, soutient-il, ce déficit ne devrait pas dépasser les 3% du produit intérieur brut (PIB) .
« En somme, avance M. Bâ à l’endroit des PTF, à l’horizon 2020, la société sénégalaise devrait être caractérisée par une réduction sensible de la grande pauvreté et une population instruite, bien formée, bénéficiant des fruits de la croissance sur l’ensemble du territoire ». Pour ce faire, le plan d’action prioritaire 2014-2018, a privilégié l’accélération de la productivité et le renforcement de la production. Ce plan va ainsi mettre l’accent sur un certain nombre de domaines comme les infrastructures et les services de transports, le tourisme, les infrastructures et les services d’énergie, l’agriculture au sens large ou encore l’industrie, les mines et carrières.
El Hadj Diakhaté