‘’Toutes les difficultés que nous connaissons dans la gestion de ces ressources sont dues à des problèmes de gouvernance, c’est pour cette raison que le projet s’attaque à cette thématique importante, en regroupant tous les experts des 7 pays, bénéficiaires pour évaluer cet indice de gouvernance ‘’, a-t-il expliqué en marge d’un atelier sous régional axé sur « le suivi de la gouvernance et de la cohérence entre les politiques de gestion des ressources marines et côtières et des stratégies de lutte contre la pauvreté ».
Le projet GO WAMER est cofinancé pour 4 ans par l’Union Européenne et le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) à hauteur de 10,5millions d’euros et regroupe 7 pays : la Mauritanie, le Sénégal, la Gambie, la Guinée Bissau, la Guinée, le cap vert et la Sierra Leone.
Ce deuxième atelier du genre a pour objectif , entres autres de mettre à la disposition des autorités des pays membres et des gestionnaires des ressources marines des recommandations permettant de résoudre les problèmes ou d’améliorer la situation , d’examiner et de valider les études régionales relatives à la stratégie de communication et aux impacts négatifs de la gouvernance et de la cohérence des politiques sur la sécurité alimentaire.
‘’Le premier atelier avait montré pour l’essentiel des pays que la gouvernance des ressources marines côtières est relativement peu satisfaisante car, il y’a beaucoup d’activités anthropiques et d’autres éléments qui ne jouent pas en faveur de cette gouvernance locale’’, a rappelé le coordonateur du projet GO WARMER.
Selon le docteur Taib Diouf, ‘’Ces éléments sont constitués de la pêche, les aspects anthropiques, l’utilisation des techniques et les pratiques qui sont peu recommandable et il y’a tout un ensemble d’activités qui se mènent au niveau des pays et qui ne militent pas en faveur de la durabilité de l’exploitation ‘’.
‘’Pour ces différentes raisons, nous avons au niveau du projet, initié une approche pour calculer et estimer l’indice de gouvernance tous les ans’’.
Pour exemple au Sénégal, nous connaissons des difficultés telles que la gouvernance, la mauvaise gestion sur certaines ressources… mais sa situation comparativement à celle des autres pays est relativement meilleure en revanche. Beaucoup de problèmes sont notés dans la gestion des ressources au niveau national même s’il y’a des améliorations, mais beaucoup d’efforts restent à faire.
Ndeye Maguette Kébé
Le projet GO WAMER est cofinancé pour 4 ans par l’Union Européenne et le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) à hauteur de 10,5millions d’euros et regroupe 7 pays : la Mauritanie, le Sénégal, la Gambie, la Guinée Bissau, la Guinée, le cap vert et la Sierra Leone.
Ce deuxième atelier du genre a pour objectif , entres autres de mettre à la disposition des autorités des pays membres et des gestionnaires des ressources marines des recommandations permettant de résoudre les problèmes ou d’améliorer la situation , d’examiner et de valider les études régionales relatives à la stratégie de communication et aux impacts négatifs de la gouvernance et de la cohérence des politiques sur la sécurité alimentaire.
‘’Le premier atelier avait montré pour l’essentiel des pays que la gouvernance des ressources marines côtières est relativement peu satisfaisante car, il y’a beaucoup d’activités anthropiques et d’autres éléments qui ne jouent pas en faveur de cette gouvernance locale’’, a rappelé le coordonateur du projet GO WARMER.
Selon le docteur Taib Diouf, ‘’Ces éléments sont constitués de la pêche, les aspects anthropiques, l’utilisation des techniques et les pratiques qui sont peu recommandable et il y’a tout un ensemble d’activités qui se mènent au niveau des pays et qui ne militent pas en faveur de la durabilité de l’exploitation ‘’.
‘’Pour ces différentes raisons, nous avons au niveau du projet, initié une approche pour calculer et estimer l’indice de gouvernance tous les ans’’.
Pour exemple au Sénégal, nous connaissons des difficultés telles que la gouvernance, la mauvaise gestion sur certaines ressources… mais sa situation comparativement à celle des autres pays est relativement meilleure en revanche. Beaucoup de problèmes sont notés dans la gestion des ressources au niveau national même s’il y’a des améliorations, mais beaucoup d’efforts restent à faire.
Ndeye Maguette Kébé