En effet, face aux enjeux mondiaux, le Sénégal a choisi de miser sur les sciences, les technologies et l’innovation (STI) pour impulser le développement économique et social, a rappelé le directeur général de la recherche et de l’innovation, Amadou Thierno Gaye, selon qui, ‘’il s’agit de faire de notre pays un des acteurs de l’économie de la connaissance par le développement d’un système d’enseignement supérieur, de recherche et d’innovation de qualité’’.
Suite à la concertation nationale sur l’avenir de l’enseignement supérieur (CNAES), la première décision présidentielle a porté sur ‘’réorienter le système d’enseignement supérieur vers les sciences, la technologie, les sciences de l’ingénieur et les mathématiques (STEMS), les filières courtes, techniques et professionnelles. Ainsi, dans l’objectif de promouvoir et d’accélérer l’excellence dans l’enseignement des filières scientifiques et technologiques, le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation travaille à la mise en place d’un institut des sciences et techniques avancées (ISTA), dont la coordination est assurée par la Direction générale de la recherche et de l’innovation.
Selon un document de ladite direction, l’ISTA est une structure de formation et de recherche qui doit contribuer ‘’très rapidement’’ à accélérer le développement des ressources humaines de très grande qualité dans des domaines de pointe des sciences et technologies qui sont au centre des innovations survenant à travers le monde d’aujourd’hui et futur.
L’ISTA abritera un certain nombre de masters interuniversitaires dans les domaines des nanosciences et nanotechnologies, physique nucléaire et applications, cyber sécurité, génétique moléculaire et bio-informatique, sciences et techniques spatiales et télédétection, physique de l’atmosphère et océanographie, Big data, Internet des objets et intelligence artificielle, robotique, analyse numérique et modélisation. Les technologies qui seront conçues dans ce cadre pourront induire des transformations qualitatives importantes de l’économie sénégalaises, a estimé le directeur de la recherche et de l’innovation.
Pour le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, le professeur Mary Teuw Niane, cet atelier de validation est l’aboutissement d’un long processus participatif et inclusif de la Direction générale de la recherche et de l’innovation, à travers la Direction des stratégies et de la planification de la recherche, qui a coordonné, depuis plus d’un an, ce processus.
‘’Pour que les programmes de formation qui vont être dispensées par l’ISTA atteignent un standard de niveau international, j’ai demandais à ce qu’ils soient soumis à l’appréciation des experts de rang mondial, sénégalais et africains de la diaspora ainsi que nos partenaires des autres pays comme la France, le Canada, les Etats-Unis d’Amérique, mais aussi nos partenaires africains comme le Ghana’’, a-t-il indiqué, avant de saisir ‘’solennellement’’ cette opportunité que lui a offerte cet atelier pour remercier tous les acteurs et autres parties prenantes.
D’après Mary Teuw Niane, le Sénégal mène, depuis 2013, une réforme en profondeur de son système d’enseignement supérieur, de recherche et d’innovation permettant ainsi à ce sous-secteur de disposer d’’’une feuille de route claire’’ qui lui permet de jouer son ‘’rôle majeur’’ de pilier du développement socio-économique et culturel et de contribuer à la réalisation des objectifs des politiques publiques articulées autour du Plan Sénégal émergent (PSE) qui, selon lui, se fera avec le concours déterminant de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science, de la Technologie et de l’Innovation.
‘’C’est fort de tout cela que les missions des universités ont été repensées et consacrées dans la loi-cadre sur les universités publiques du Sénégal, qui engagent les établissements d’enseignement supérieur, en plus de leurs missions traditionnelles de production et transmission des connaissances dans le service à la société, l’accompagnement à l’employabilité des jeunes et aussi le développement de l’innovation’’, a déclaré le ministre qui précise que l’ISTA s’inscrit dans la dynamique des actions entreprises pour mettre en œuvre les décisions présidentielles.
Serigne Makhtar Fall
Suite à la concertation nationale sur l’avenir de l’enseignement supérieur (CNAES), la première décision présidentielle a porté sur ‘’réorienter le système d’enseignement supérieur vers les sciences, la technologie, les sciences de l’ingénieur et les mathématiques (STEMS), les filières courtes, techniques et professionnelles. Ainsi, dans l’objectif de promouvoir et d’accélérer l’excellence dans l’enseignement des filières scientifiques et technologiques, le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation travaille à la mise en place d’un institut des sciences et techniques avancées (ISTA), dont la coordination est assurée par la Direction générale de la recherche et de l’innovation.
Selon un document de ladite direction, l’ISTA est une structure de formation et de recherche qui doit contribuer ‘’très rapidement’’ à accélérer le développement des ressources humaines de très grande qualité dans des domaines de pointe des sciences et technologies qui sont au centre des innovations survenant à travers le monde d’aujourd’hui et futur.
L’ISTA abritera un certain nombre de masters interuniversitaires dans les domaines des nanosciences et nanotechnologies, physique nucléaire et applications, cyber sécurité, génétique moléculaire et bio-informatique, sciences et techniques spatiales et télédétection, physique de l’atmosphère et océanographie, Big data, Internet des objets et intelligence artificielle, robotique, analyse numérique et modélisation. Les technologies qui seront conçues dans ce cadre pourront induire des transformations qualitatives importantes de l’économie sénégalaises, a estimé le directeur de la recherche et de l’innovation.
Pour le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, le professeur Mary Teuw Niane, cet atelier de validation est l’aboutissement d’un long processus participatif et inclusif de la Direction générale de la recherche et de l’innovation, à travers la Direction des stratégies et de la planification de la recherche, qui a coordonné, depuis plus d’un an, ce processus.
‘’Pour que les programmes de formation qui vont être dispensées par l’ISTA atteignent un standard de niveau international, j’ai demandais à ce qu’ils soient soumis à l’appréciation des experts de rang mondial, sénégalais et africains de la diaspora ainsi que nos partenaires des autres pays comme la France, le Canada, les Etats-Unis d’Amérique, mais aussi nos partenaires africains comme le Ghana’’, a-t-il indiqué, avant de saisir ‘’solennellement’’ cette opportunité que lui a offerte cet atelier pour remercier tous les acteurs et autres parties prenantes.
D’après Mary Teuw Niane, le Sénégal mène, depuis 2013, une réforme en profondeur de son système d’enseignement supérieur, de recherche et d’innovation permettant ainsi à ce sous-secteur de disposer d’’’une feuille de route claire’’ qui lui permet de jouer son ‘’rôle majeur’’ de pilier du développement socio-économique et culturel et de contribuer à la réalisation des objectifs des politiques publiques articulées autour du Plan Sénégal émergent (PSE) qui, selon lui, se fera avec le concours déterminant de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science, de la Technologie et de l’Innovation.
‘’C’est fort de tout cela que les missions des universités ont été repensées et consacrées dans la loi-cadre sur les universités publiques du Sénégal, qui engagent les établissements d’enseignement supérieur, en plus de leurs missions traditionnelles de production et transmission des connaissances dans le service à la société, l’accompagnement à l’employabilité des jeunes et aussi le développement de l’innovation’’, a déclaré le ministre qui précise que l’ISTA s’inscrit dans la dynamique des actions entreprises pour mettre en œuvre les décisions présidentielles.
Serigne Makhtar Fall