"Nous avions signé un protocole avec les industriels qui s'engageaient à enlever la production après la récolte mais ils n'ont pas respecté leur parole", a dit Moustapha Mbengue, porte-parole des producteurs de Gaya où 575 hectares ont été emblavés.
"La situation est la même dans toute la zone de production", selon M. Mbengue qui a signalé que 2000 ha ont été emblavés.
"Le risque est gros de voir la tomate pourrir dans les champs au grand damne des producteurs qui ont contracté des dettes auprès des banques et des commerçants pour aller en campagne", a-t-il fait observer.
"Si demain, nous ne parvenons pas à payer nos dettes, que l'Etat sache que la responsabilité revient aux industriels, car la tomate ne peut pas attendre et nous ne pouvons rien en faire à ce stade", a averti le .
Il a invité les industriels à augmenter le rythme d'enlèvement de la production en souffrance dans les champs.
APS
"La situation est la même dans toute la zone de production", selon M. Mbengue qui a signalé que 2000 ha ont été emblavés.
"Le risque est gros de voir la tomate pourrir dans les champs au grand damne des producteurs qui ont contracté des dettes auprès des banques et des commerçants pour aller en campagne", a-t-il fait observer.
"Si demain, nous ne parvenons pas à payer nos dettes, que l'Etat sache que la responsabilité revient aux industriels, car la tomate ne peut pas attendre et nous ne pouvons rien en faire à ce stade", a averti le .
Il a invité les industriels à augmenter le rythme d'enlèvement de la production en souffrance dans les champs.
APS