« Cette progression est induite par la bonne tenue du tertiaire (plus 3,8%) et du recouvrement des taxes sur biens et services (plus 9,3%) qui ont compensé les contreperformances du secondaire et du primaire », signale la DPEE.
Ainsi donc, après deux mois consécutifs caractérisés par de faibles résultats le secteur tertiaire a renoué avec la croissance à cause de la bonne tenue des transports et télécommunications (plus 12,8%), des services d’hébergement et de restauration (plus 5,1%), des activités immobilières (plus 10,8%) et des services financiers (plus 2,5%).
Comparativement à la même période en 2012, la DPEE note que l’activité du tertiaire n’a progressé que de 0,3%, imputable aux transports et télécommunications (plus 14,3%) malgré la baisse enregistrée au niveau des services financiers (moins 20,1%) et des activités immobilières (moins 9,1%).
Au niveau du secteur secondaire, l’activité est ressortie en baisse de 5,9% durant la période sous revue comparativement à son niveau du mois d’octobre. Selon la DPEE, cette inflexion est à lier avec le ralentissement de l’activité des extractives, des sucreries, des industries textiles et d’égrenage de coton ainsi que de la chimie nonobstant la bonne progression des corps gras alimentaires et des ventes de ciment.
Comparativement à novembre 2012, le secteur secondaire a affiché des signes de faiblesse en liaison avec les maigres résultats des activités extractives (moins 12,4%), des huileries et des autres industries. Cela s’est traduit par un repli de l’indice du secteur de 14% sur la période sous revue.
Concernant l’activité du secteur primaire (hors agriculture et sylviculture), elle a poursuivi en novembre 2013 sa tendance baissière entamée depuis juin 2013. Elle a ainsi enregistré un repli de 1,5%, en variation mensuelle. « Ce nouveau recul est en liaison avec la chute de la production contrôlée de viande (moins12, 7%), toutefois, contrebalancée par les débarquements de la pêche (plus 50,8%) », explique la DPEE. Cette structure précise que la progression de l’activité du sous-secteur de la pêche est portée par celle industrielle qui se situe à 101%.ce secteur a, de ce fait, tiré profit de la fin du repos biologique.
Comparativement à novembre 2012, le secteur primaire s’est contracté de 5,9% en liaison avec la baisse des abattages contrôlés de viande (moins 11,5%).
La DPEE signale néanmoins qu’en glissement annuel, l’activité économique au Sénégal s’est tassée de 4,6%. Ce qui reflète ainsi le ralentissement de l’activité de l’ensemble des secteurs à l’exception du tertiaire et des administrations publiques qui enregistrent respectivement une progression de 0,3% et 2,2%.
El Hadj Diakhaté
Ainsi donc, après deux mois consécutifs caractérisés par de faibles résultats le secteur tertiaire a renoué avec la croissance à cause de la bonne tenue des transports et télécommunications (plus 12,8%), des services d’hébergement et de restauration (plus 5,1%), des activités immobilières (plus 10,8%) et des services financiers (plus 2,5%).
Comparativement à la même période en 2012, la DPEE note que l’activité du tertiaire n’a progressé que de 0,3%, imputable aux transports et télécommunications (plus 14,3%) malgré la baisse enregistrée au niveau des services financiers (moins 20,1%) et des activités immobilières (moins 9,1%).
Au niveau du secteur secondaire, l’activité est ressortie en baisse de 5,9% durant la période sous revue comparativement à son niveau du mois d’octobre. Selon la DPEE, cette inflexion est à lier avec le ralentissement de l’activité des extractives, des sucreries, des industries textiles et d’égrenage de coton ainsi que de la chimie nonobstant la bonne progression des corps gras alimentaires et des ventes de ciment.
Comparativement à novembre 2012, le secteur secondaire a affiché des signes de faiblesse en liaison avec les maigres résultats des activités extractives (moins 12,4%), des huileries et des autres industries. Cela s’est traduit par un repli de l’indice du secteur de 14% sur la période sous revue.
Concernant l’activité du secteur primaire (hors agriculture et sylviculture), elle a poursuivi en novembre 2013 sa tendance baissière entamée depuis juin 2013. Elle a ainsi enregistré un repli de 1,5%, en variation mensuelle. « Ce nouveau recul est en liaison avec la chute de la production contrôlée de viande (moins12, 7%), toutefois, contrebalancée par les débarquements de la pêche (plus 50,8%) », explique la DPEE. Cette structure précise que la progression de l’activité du sous-secteur de la pêche est portée par celle industrielle qui se situe à 101%.ce secteur a, de ce fait, tiré profit de la fin du repos biologique.
Comparativement à novembre 2012, le secteur primaire s’est contracté de 5,9% en liaison avec la baisse des abattages contrôlés de viande (moins 11,5%).
La DPEE signale néanmoins qu’en glissement annuel, l’activité économique au Sénégal s’est tassée de 4,6%. Ce qui reflète ainsi le ralentissement de l’activité de l’ensemble des secteurs à l’exception du tertiaire et des administrations publiques qui enregistrent respectivement une progression de 0,3% et 2,2%.
El Hadj Diakhaté